2023 janvier 23

Alle ultime elezioni politiche ho deciso di non votare. Eppure ho sempre pensato che l’astensione è un privarsi tipicamente qualunquista e masochista: lasciando così ad altri il potere di decidere sulla vita di tutti! Nel frattempo però, la democrazia – vale a dire la facoltà di determinare sul proprio destino pubblico – è stata dichiarata ormai irrilevante dai nuovi “padroni del vapore” nel mondo, situati a Davos. I quali determinano da decenni le sorti politiche del mondo. Indipendentemente dalle elezioni: che siano vinte dalla destra o dalla sinistra! In effetti, si è giunti al punto di dover rimemorare il fatto che la politica non dispone dei principi che dovrebbero veramente fondarla e dirigerla. Per cui oggi la si deve assolutamente rifondare nelle sue direttive pubblicamente morali e anti-gnostiche.

Innanzitutto, per cambiare la realtà bisogna vederla criticamente. Oggi la politica è diventata da molto politicismo in preda alla discussione infinita, con solo i “talk show” televisivi da modello… L’apparente antagonismo irriducibile tra liberalismo e comunismo non è realistico: il primo è solo il superstite del fallimento confessato spontaneamente dal secondo, in modo pubblico e […]

Aux dernières élections politiques j’ai décidé de ne pas voter. Même si j’ai toujours pensé que l’abstention c’est une privation typique du masochisme et du n’importe quoi : en laissant à d’autres le pouvoir de décider sur la vie de tous ! Entre-temps, la démocratie – c’est-à-dire la faculté de déterminer sur le propre destin en public – a été déclarée désormais insignifiante par les nouveaux « patrons de la vapeur » dans le monde, situés à Davos. Lesquels définissent depuis des décennies les buts de la politique du monde. Indépendamment des élections : aussi bien qu’elles soient gagnées par la droite ou par la gauche ! En effet, on est arrivé au point de devoir rappeler le fait que la politique ne dispose pas des principes qui devraient vraiment la fonder et la diriger. Raison pour laquelle aujourd’hui on la doit absolument refonder dans ses directives publiques morales et anti-gnostiques.

Tout d’abord, pour changer la réalité il faut la voir critiquement. Actuellement la politique est devenue depuis longtemps politicienne avec discussions infinies, au model des « talk-shows »… L’apparent antagonisme irréductible entre libéralisme et communisme n’est pas réalistique : le premier est seulement le survivant de la faillite avouée spontanément par le deuxième, en modalité publique et mondiale, […]