2018 décembre 29

L’abbandono radicale e reiterato, della profonda tradizione umanista e realmente religiosa, ha portato la civiltà occidentale a rimuovere il principale ed unico attore di tutta la sua grandezza mais sorpassata : lo sviluppo della sempre sola cultura incarnata e globale del pianeta, il giudeo-cristianesimo trinitario. Così il miserabilismo è anche giunto ad un riduzionismo galoppante verso il “pensiero unico”, dominante in tutta la contemporaneità

L’incapacità di dominare i problemi posti dalla crisi economica da parte degli intellettuali classici (stranieri alle tecnologie) e dei tecnici moderni (refrattari al classicismo) Dopo le sacrosante ostriche, i foies gras, i formaggi ben maturati, i dialoghi a tavola a Natale ci hanno portati, improvvisamente, a parlare di una trasmissione di Apostrophe: quella di Bernard […]

L’abandon radical et réitéré, de la profonde tradition humaniste et réellement religieuse, a amené la civilisation occidentale à refouler le principal et unique acteur de toute sa grandeur jamais dépassée : le développement de la toujours seule culture incarnée et globale de la planète, le judéo-christianisme trinitaire. Ainsi le misérabilisme est même arrivé à un réductionnisme galopant vers la « pensée unique », dominante dans toute la contemporanéité

L’incapacité de maîtriser les problèmes posés par la crise économique des intellos classiques (étrangers aux technologies) et des techniciens modernes (réfractaires au classicisme) Après les sacrosaintes huitres, les foies gras et les fromages bien affinés, les dialogues à table de Noël nous ont amenés, soudain, à parler d’une émission d’Apostrophe : celle de Bernard Pivot sur […]