2018 décembre 12

I poteri di tutti i partiti politici europei, anche alle opposizioni e detti « populisti », non parlano di statalismo. È per questo che nuove tasse supposte poco visibili arrivano continuamente: ancora sul carburante come in Francia, sulle auto in Italia o, chiaramente, con quella intitolata “patrimoniale”… Da cui i gilet jaunes, oppure la lotta totalitaria dell’UE contro il budget 2019 dell’Italia. In effetti malgrado la logorrea dei media, non una parola sull’armata di milioni di statali eccedentari in Europa!

Anche all’origine, lo statalimo è la pretesa del dominio dello Stato su Dio: ora esso si esprime con le tasse per rinforzare l’armata nella conseguente guerra civile non senza sangue Nel 2017, un’inchiesta meticolosa aveva messo in evidenza che in Italia c’era quasi un milione di eccedentari statali, vale a dire di dipendenti pagati inutilmente […]

Les pouvoirs de tous les partis politiques européens, même à l’opposition et dits « populistes », ne parlent pas d’étatisme. C’est pour cela que des nouvelles taxes supposées peu visibles arrivent continuellement : encore sur le carburant comme en France, sur les autos en Italie ou, en clair, moyennant celle intitulée « patrimoniale »… D’où les gilets jaunes, voire la lutte totalitaire de l’UE contre le budget 2019 de l’Italie. En effet malgré la logorrhée des médias, pas un mot sur l’armée des millions de fonctionnaires excédentaires en Europe !

Même à l’origine, l’étatisme est la prétention de la domination de l’État sur Dieu : à présent elle s’exprime avec les taxes pour en renforcer l’armée dans la conséquente guerre civile En 2017 une enquête méticuleuse avait mis en évidence qu’en Italie il y avait quasi un million d’excédentaires « statali », c’est-à-dire de fonctionnaires, payés inutilement publiquement […]