2017 décembre 7

La conduite de l’Église exige – tout d’abord, toujours et impérativement – le rétablissement des « principes non négociables ». Donc, s’agit-il de l’identité divine unitaire dans la Vérité ou des diversités mondaines du pluriel relativiste et fatalement en perdition ?

Faut-il célébrer aujourd’hui l’« embrassons-nous » intentionnel et pseudo-œcuménique voué au minime commun dénominateur humaniste des hommes, au plus, de bonne volonté ? Absolument pas : le christianisme a, en priorité, tout autre chose à faire. Dans une ère où on ne sait plus ce que catholicisme authentique veut dire, tout doit être fait, vraiment tout, pour […]