C’est quand que la vision étriqué de l’actuelle droite politique va-t-elle se libérer de l’esclavage de se focaliser exclusivement sur la dimension politicienne, irréligieuse et gnostique de sa racine idéologique ? Laquelle a enfanté ses mouvements et les partis politiques qui continuent à empiéter nos existences dans l’envahissant gauchisme failli. Et ceci pendant qu’entre gauche et droite il ne reste que l’opposition « féroce », d’une différence limitée au quantitatif !

Il ne faut pas sortir de l’Union Européenne, mais de ses Traités et de la gestion injuste de son « Euro », conçue depuis le début à l’envers : sans homogénéité politique et économique.
La mythologique princesse appelée Europe «enlevée au dos d’un puissant taureau » remonte à il y a plus de trois mille ans, dans l’ancienne Grèce. Elle est profondément métabolisée, à partir au moins du Portugal jusqu’à l’Oural (selon la formule de De Gaulle), aussi bien géographiquement que culturellement. Ne jamais, donc, penser d’en sortir ! Il serait comme briguer pour dénier et abandonner encor plus sa propre Famille d’appartenance… Il faudra plutôt en compléter l’intégration méticuleuse et adéquatement pondérée, pour tous les nations qui encore ne le sont politiquement pas, outre que depuis toujours bien identifiées. Chose qui, par ailleurs, ne se poursuit nullement depuis de années, de la part de tout l’Occident qui plutôt louche et est oublieux de ses ontologiques et glorieuses origines de suprême Civilisation universelle. Et se pense souvent systématiquement souveraine de son immense richesse surtout spirituelle. Non seulement, mais cette Europe se constate parfois aussi dévastée par toute la culture encore complètement dominant de la gauche européenne toujours marxiste. Qui encore confonde, par exemple, le Vieux Continent avec l’Union Européenne actuellement politicienne e surtout idéologique dans le totalitaire. Laquelle continue à falsifier le concept d’universalisme catholique avec celui de mondialisme matérialiste et rationaliste, surtout avec sa conception aussi obsolète sur le plan également théorétique. Aussi avec son originaire vision, l’allemande Weltanschauung, des trois germanophones fondateurs tous mitteleuropéens catholiques : le grand Allemand Adenauer, le Français alsacien Schuman et l’Italien trentin De Gasperi. L’heureuse initiale Communauté européenne a été ainsi trahie complètement et globalement dans ses principes, actuellement dégénérés et mondialistes, par son idéologie politique devenue très différente, à partir su Traité de Maastricht. Et de son adoption dictatoriale (naturellement frauduleuse) de l’Euro totalitaire, qu’on a tendance à oublier (notamment en temps de Covid).

La conception laïque de la vision politique publique sans Dieu devient toujours fatalement laïciste !
De l’adoption en UE de la vision renversée par rapport à l’unité et à l’homogénéité politique, on pourra et on devra aussi librement sortir ! Dite vision est tellement différente de celle de sa fondation en 1957, à se configurer comme une nouvelle inconsciente « religion » antichrétienne et surtout  anticatholique dans son réductionnisme dictatorial. En effet, le principe fondateur de cette nouvelle politique spirituelle européenne, interne et externe, consiste dans l’avoir ôté toute la présence active et même prédominante du Catholicisme de la vie publique dans le monde et en relation à la vie réelle de ses populations. Le résultat est un déclin total du Continent, spécialement le plus prestigieux et vieux phare du monde. Ainsi la chose ne pouvait mener que dans les naïves et incultes cognitions de ces nouvelles stratégies gnoséologiques et gnostiques, à un type de société dotée d’une pensée dite « neutre et à pensée unique». Donc, fatalement et appartenant à un univers « athée », littéralement « sans Dieu », surtout dans la dimension publique, contraire à la vision qui avait fondé et développé la Communauté Européenne, initiale – depuis toujours – même de toute la  Civilisation occidentale. Ainsi, la soi disant société neutre, actuellement faite passer comme indispensable, ne peut être que laïque mais et anticatholique en tant que société toujours religieusement bien connotée. Ainsi, à présent, elle est assurément destinée à la faillite après avoir même dénié  dans la soi-disant Constitution européenne son identité historique chrétienne.
Et les autres religions ? Elles sont très partiellement vraies, ou – pourrait-on dire – complètement et réellement fausses ou très marginales ! Le laïcisme parjure et totalisant de l’actuel Union Européenne n’est que le même résultat de l’opposition structurellement pré-ordonnée et intransigeante de son principe « laïque » de ré-fondation en 1993 : exactement et non par hasard comme celle mondialiste en vogue et sous la dénomination de NOM (Nouvel Ordre Mondial).

La différence entre Communauté et Union Européenne n’est donc pas formelle, elle constitue une vraie trahison laïciste dans la conception associative entre communautaires et faux unionistes.
Il est toujours une pie et très lobotomisée illusion celle de penser de réaliser une nouvelle société « neutre » et non identitairement religieuse. Inévitablement, le résultat serait (et toujours il s’est déjà vérifié) l’exit d’une nouvelle religion athéiste et improvisée. L’intrinsèque et très mal connu terme « laïciste », toujours plus opérationnel sans aucun fondement ontologique et sans l’intrinsèque Révélation surnaturelle, est de plus en plus sous les yeux de tous! De là, la radicale opposition entre la Communauté Européenne des non seulement nos trois fondateurs professant ouvertement la Foi catholique, et l’Union du Traité de Maastricht laïque et totalitaire dans sa structure de son accomplissement inévitablement gnostique. La stratégie, déjà toute titaniquement conçue dans le néo-immanentisme politicien de nos siècles protestantisants est en marches forcés.
Il s’agit ici de la racine critique de tous les grands historiens contraints à constater que la triade des Lumières  « liberté, égalité, fraternité » a toujours aussi été structurellement défectueuse, au moins du troisième terme-concept. Car il est manquant nécessairement du principe de transcendance religieuse de la fraternité divine propre du concept ontologique et sacré révélé dans la Famille, non seulement naturelle et de naissance. Par conséquent tant haï par les nouveaux agnostiques de gauche comme aussi souvent de droite. Lesquelles reconnaissent d’une façon écervelée seulement les individus individualisés et naturellement devenus conformistes et irrationnels, dans l’extrémisme moderniste et non vis-à-vis  des Personnes. La justice en effet, ne sera jamais possible vraiment sans le background de la vertu théologale de la Charité, typiquement chrétienne et religieuse. La stratégie « unioniste » et opposée à la « communautaire » ne peut que produire la superbe et l’envie. Qui ne pourra être sauvé que par la pratique sacramentelle propre de l’Église catholique, avec sa divine Réconciliation. Les autres religions et Églises, toutes les autres, se sont déjà conformées, lorsqu’elles ne l’étaient déjà depuis leurs origines fondatives, aux principes gnostiques du monde dit abusivement « laïque ». En réalité férocement toujours laïciste, car complètement  effréné comme dans les Pays où on martyrise, de nos jours comme jamais auparavant et dans l’indifférence, les chrétiens et surtout le Catholiques. Ce qui est encor plus tragique dans tout ce cadre, est que l’Église catholique actuelle, spécialement par le biais de son Pontificat, s’est alignée quasi parfaitement avec toute cette stratégie hétérodoxe de perdition.

Au niveau planétaire, le phénomène est reproduit comme Nouvel Ordre Mondial (NOM) dans lequel, déjà dans les années 60-70 on a mis les bases très laïques, laïcistes et franc-maçonnes de l’unité mondiale, même plutôt future, d’une nouvelle religion civile syncrétique.
Ils ont été appelés « modernistes »ses membres innombrables car la modernité intrinsèque au Christianisme, sans la Grâce (!), les a produit par induction. Mais surtout, ils étaient diaboliquement dès l’origine, dans la vision laïque, anti-cristocentrique et étatiste des sociétés déjà dites modernes immanentistes. Depuis plus de cinq siècles, la pensée philosophique a même ainsi commencé à se concevoir d’une façon autonome en rapport à la théologie. Laquelle, pour fonctionner dans son devenir, a toujours la nécessité de son instrument opérationnel pensant : il est ainsi que la théologie, comme toujours et pour tous les domaines, a sauvé et rendu encor plus efficient sa toute sa technique autonome (celle-là, en tant que philosophie, certainement doit l’être) ! Elle était née, fondamentalement dans une modalité systématique de la culture grecque, des présocratiques et de la métaphysique de Platon et d’Aristote… Et puis, vers la fin du Moyen Âge, quand la philosophie s’est conçue comme si elle était surgie du néant, en s’inventant indépendante et bien séparée de la théologie non seulement chrétienne qui, entre-temps, s’était prodigieusement développée. Non plus comme seulement « sa servante », ainsi que celle reconnue par saint Thomas d’Aquin de l’ancienne Grèce, avec l’avent du Christianisme et de sa grande Civilisation globale et occidentale. L’idée corollaire de cette autonomie était, avec le malthusianisme du début du dix-neuvième siècle, pour lequel la Terre ne pouvait pas nourrir plus d’un million de personnes (ils parlaient souvent aussi un demi-million…). Au début du troisième millénaire les habitants terrestres ont augmentés plutôt d’un minimum de… sept fois ! En atteignant même à avoir éliminé virtuellement la « faim du monde » (on le sait des statistiques même de la FAO),  avec une production supérieur au double (déjà en 2015) du nécessaire, d’une façon très naturellement surprenante. Toujours pour être complète et vraiment satisfaisante, à condition qu’il n’y avaient pas de guerres, de disettes, de distributions irrationnelles et, surtout, si on avait éliminé en grande partie les océaniques pertes alimentaires en gaspillage de l’Occident ! Les abrutis gnostiques, restés comme d’habitude incrédules sans espoir humaine typiquement  néo-malthusienne, continuent à rêver une toujours  et irrationnelle régression mondiale civile (!), culturelle et économique. En commençant de l’écervelée dénatalité assassine, surtout avec l’avortement massifié et alentours. Désormais, la classe dirigeante, c’est-à-dire l’oligarchie totalitaire, surtout financière, qui commande plus ou moins d’une manière occultée dans le monde, veut toujours plus dominer non seulement sur le plan économique les multitudes que nous tous sommes. Et ceci selon la conception d’esclavagisme munie de la seule « compensation » d’un simulacre d’hédonisme toujours plus clochard dans le style « panem et circenses » romain.
D’où le NOM, totalement irréligieux et déjà en substitution avec la nouvelle fausse religion déjà non libérale (soft) et immanentiste dans le syncrétisme. Elle est en surcroît dictatoriale et toujours plus aussi déjà anti-démocratique. Bien autre chose, donc, que la religiosité catholique de l’ontologique et salvifique révélé du « Péché originel »!

L’idée d’une religion civile, unique e mondiale a fasciné et convaincu les sommets de l’Église catholique et une majorité passive du Peuple de Dieu. Comme dernière religion disposée à céder à la sirène rationaliste, pourvue qu’elle soit collective e acclamée comme « pacifiste et généreuse ».
Même la multitude d’hommes cruciaux et ecclésiastiques appartenant à l’Église catholique s’est  laissé berner par les philosophies erronées et gnostiques. En les utilisant sans trop y comprendre, en guise d’instruments inadéquats, donc fourvoyant toute la théologie de la Tradition par eux pratiquement conçue. Elle était destinée inévitablement à devenir toujours plus hérétique, n’étant plus la philosophie chrétienne nécessairement et facilement disponible ou sciemment choise… Heureusement et par définition, l’Église catholique, en tant que institution éternelle et divine, est vraiment et stratégiquement immune de toute erreur permanent et « définitive ». En effet, elle n’est pas  toujours impliquée en totalité, ainsi que tout le Peuple de Dieu, dans les dérives de dégradation et de perdition. C’est pour cela qu’il faut nécessairement émerveiller même l’omniscient Jésus, qui se demandait dans l’Evangile (conséquemment à l’inviolable liberté des hommes) si à son retour « à la fin des temps, Il aurait retrouvé de la Foi sur la Terre et parmi les hommes » !
Par ailleurs la foi des catholiques est simple à poursuivre même dans  la plus obscure des toujours  plus damnées des ères. La vérité pour laquelle l’avent de l’Antéchrist, annoncé par les Écritures Sacrées, sera caractérisé par l’apparition d’un très grand chef aimable et humaniste, cultivé et profond anthropocentrique, cette évidence fatale est tout de même seulement possible si les Catholiques ne seront fortement centrés dans leur Foi consciente dans le Christ. Et fidèles à l’enseignement de la DSÉ (« Doctrine » aussi « Sociale » de l’actuelle « Église »).
Il faut savoir donc que le Christianisme est nettement bien autre chose que n’importe quelle autre religion irrationnelle et pseudo-consolatrice, psychologiquement douée de consensus général fondé sur un sentimentalisme humanoïde et, surtout, historiciste. La seule et superficielle compréhensibilité pécheresse appartenant à l’inclinaison hérétique de leur transcendance a presque toujours été radicalement et complètement étrange à la Passion, Mort et Résurrection, bien dramatiques, rationnelles et exclusivement divines de Jésus Christ ! Il n’est pas par hasard si actuellement il est demandé une Foi consciente d’une vie totalement religieuse, dans les Sacrements  et dans la souffrance continue et finalement joyeuse. Pour cela, prions encor plus.

Laisser un commentaire