Quelle a été l’influence de la part de l’Église catholique dans l’élection de Biden à

L’absurde du “politically correct et de la pensée unique voire liquide” vient de franchir, sous les yeux incrédules du monde entier, une étape ultérieure de l’illégalité et dans la perdition humaine : la mystification est devenue sans vergogne renversant même les responsabilités évidentes.
Le résultat a été que Trump, après avoir invité ses supporters dans la manifestation du 6 janvier 2021 “à retourner chez eux à la maison” et l’avoir aussi répété pendant qu’ils étaient en train de franchir le Capitol particulièrement dégarni de défense, s’est retrouvé soumis à deux demandes d'”impeachment” : un en tant que président (de loin par contre le meilleur depuis au moins plusieurs décennies) et l’autre – encore plus folle – même comme citoyen particulier, sans aucune charge politique ! Et ceci, après que les juges interpellés pour les illégalités se soient ignoblement dérobés de tout devoir d’enquête et de jugement, en reportant la règle de décision en effet aux… “calendes grecques” (comme désormais il est assez d’habitude, à partir du post-moderne). Le monde renversé, quoi ! Qui aurait pu imaginer, raisonnablement, une issue si étonnamment opposée aux prévisions, à peine quelques heures et non seulement quelques temps auparavant ? Le Deep State est entre-temps entré en jeu ! Cela fait plusieurs législatures manquées d’élections politiques que, par exemple même en Italie, les gouvernements changent complètement sans consultations populaires, afin d’assurer le pouvoir à la gauche. Laquelle se justifie publiquement en ne s’apercevant même plus, de la gravité inouïe de ses absurdités répétées : “Afin de ne pas faire gagner l’opposition de droite“, tout simplement qu’ils répètent ! Le tout dit face à l’opinion publique devant les électeurs eux-mêmes…
La même attitude effrontée des “démocrates” américains insouciant des accusations d’éversion gravissimes de la partie adverse. Laquelle, à leurs yeux, est transformée en les pires barbares non seulement à battre politiquement mais à éliminer dans la haine ! Tandis qu’à la tête des 300-400 manifestants entrés au Capitol (ils ont osé parler d'”insurrection” contre le Pays le plus puissant au monde, sans rire) et que l’on a vu faire des selfs avec les gardes souriant et en pose… Et en se rassemblant même à l’amiable avec des notoires infiltrés “antifa“, maquillés et habillés aussi avec des cornes, propres des manifestants usuels déjà vus démocrates ! Tout a été filmé en direct et transmis à plusieurs reprises, des innombrables fois, par toutes les chaines de télé au monde ! Et ceci, pendant aussi que Trump était encore en train de parler dans la manifestation assez loin de l’emplacement du Capitol.

L’Église Catholique n’a fait qu’ajouter son soutien à celui récent, en s’alignant avec l’idéologie onusienne (et franc-maçonne) qui est en train de poursuivre son horrible “Objectif 2030″…
Le Clergé romain a signé les quatre Objectifs ruineux de l’ONU pour les années 2030, sous l’égide de l’Institut fondé par saint Jean-Paul II. En profanant – comme décrit dans un article magistral de Riccardo Cascioli directeur du quotidien on line italien, La Bussola – la thèse programmatique que le Pape polonais avait fixée en opposition. Dans une vidéo désormais devenu hebdomadaire de la Doctrine Sociale de l’Église dont le siège est  situé à Trieste, le directeur Stefano Fontana reprend le thème et rappelle la complète hétérodoxie de ces thèses vaticanes actuelles : toutes concernant la sexualité humaine, l’avortement, l’euthanasie et leur soi-disant intégration obligée dans la conception illuministe française. Celle rationaliste du modernisme philosophique aussi de Kant, à la base de la théologie hérétique dite moderne des Objectifs 2030 ! On a eu ainsi une ultérieure renonciation totale au concept de Liberté et de Vérité chrétienne ! Après le bouleversement des deux premiers principes de “conscience personnelle” et des “circonstances relatives” (au qui, au quoi, au combien et au comment que je ne commenterai pas ici, dans ce post). Je citerai plutôt la troisième argumentation de l’actuelle formule ecclésiale, actuellement astucieuse et diabolique posée à défense passive de l’avortement : “Défendre le droit d’avortement ne signifie pas défendre l’avortement“, qu’ils disent ces modernistes.  Comme d’habitude, cette hérésie s’exprime par défaut et ambigument. Et tout de même d’une façon suffisante pour annuler l’opposition à l’assassinat avortiste de l’éternelle, morale, naturelle et intuitive Tradition de l’Église. À vrai dire, le président Fontana a intitulé clairement et très significativement son intervention sur la question, “La conscience luthérienne”, autour du dénommé nouveau Institut GP II que déjà Pape François avait détourné sans pudeur, de ses finalités du saint de Cracovie. La thèse vraiment catholique est très simple : contre la tendance constamment protestantisant de Pape Bergoglio, il n’existe pas d’actes mauvais (par exemple l’avortement) que la subjectivité de la “conscience et des circonstances” puisse amender vers une impossible acceptabilité chrétienne. La Liberté catholique n’est jamais celle des mécréants jaillie des Lumières françaises, anthropocentriques et toujours meurtrières !
Cela explique également le bémol que Pape François a introduit malicieusement contre la prise de position des évêques américains (!) qui se sont exprimés en opposition au catholique adulte et bien “imaginaire” Biden, encore ouvertement avortiste ! Il fallait bien défendre – il doit avoir pensé Pape François – l’avortement (sic !) bien aimé par le monde rebelle et adhérant enthousiaste au NOM, contre l’odieux  Trump (qui ne l’était absolument pas).

La politique de manipulation psychologiste et de désinformation idéologique n’a plus peur de se dévoiler publiquement, en s’acheminant vers le sabotage subversif des règles démocratiques.
L’exemple du Clergé moderniste, cumulé avec les désormais innombrables nominations de la part de Pape François, est frappant. Nominations qui rendent totalement et massivement hérétique son Pontificat, même à cause de son intense intermittence avec la très passive et obscurcie Tradition (voir déjà l’encyclique Pascendi de Pape saint Pie X, en 1907). Fort d’une philosophie moderniste et conçue contre le christocentrisme catholique, adopté sans le dire mais en le faisant continuellement : par des actes et des mots (la dernière phrase sur l’avortement de Pape Bergoglio : “l’avortement n’est pas un problème religieux” ! Surtout par le biais d’évêques et de cardinaux sans aucune Grâce et ouvertement hétérodoxes, l’Église romaine actuelle ne défend nullement, en fait, la Doctrine catholique de la sexualité et de la Famille qui commence contre l’avortement, comme disait sainte Térèse de Calcutta. Naturellement, cette concession permanente ne fait que soutenir implicitement et obligatoirement les “soi-disant” droits interconnectés structurellement et très annoncés des Objectifs  2030 onusiens ! Il est ici à rappeler la règle d’or de l’hérésie moderniste qui se fonde toujours sur l’ambiguïté du langage ayant fait propre la pratique soulignée par le jeune philosophe italien Fusaro qui ha formulé le slogan très approprié : “le modernisme contemporain est politiquement correct mais éthiquement très incorrect et corrompu“. Ces Objectifs 2030 concernent, il va de soi, les tragiques conséquences du gender et de la dénatalité. Ce sont ces deux objectifs également de la politique monstrueuses du NOM mondialiste, prôné par Biden, les Chinois, les francs-maçons, les onusiens, les leaders de l’Union Européens avec tous ses suiveurs progressistes et les bergogliens saintgallistes et tiers-mondistes migrationnistes irréligieux… Tout ce qui est catholique ne peut être trouvé qu’à l’opposition douloureuse et priant, aujourd’hui nécessairement antipapiste et très pétrinienne !

Du “Deep State” au “Deep Church” : les pratiques abruties du coronavirus chinois utilisées  comme méthode politicienne et “thérapeutique”. Elles sont déjà en train de renverser leurs valeurs de civilisation, même religieuses, pour un simulacre d’hédonisme clochard et en disparition.
Toute l’issue des élections américaines (et de la crisette politique italienne dont la seule certitude est que les populations ne voteront pas pour sa solution) est dans les mains exclusives du “Deep State” et du “Deep Church“, dont l’attaque actuel entre allié du Mal et gagnant est déjà en cours. Cet attaque est soutenu par tous les grands médias importants, les politiciens désormais tous dictatoriaux de l’occident moderniste néo-marxien, la finance internationale toute structurée dans les apparats politiques devenues falsifiant par rapport à l’idolâtrie du pouvoir étatiste. Et conséquemment anticatholique : ils ont l’air d’accélérer leurs projets non moins qu’infernaux. Le niveau de massification des peuples, c’est-à-dire le conformisme avec la mentalité mondaine et masochiste déjà dominante, est prêchée continuellement par les fidèles de la nouvelle narration progressiste et on ne peut plus réductive. Désormais bien connue, mais seulement par une minorité : celle-ci est désormais connue comme l’anarchie très contrôlée dans la soi-disant démocratie actuelle.
La dénomination générale de cette constellation d’organismes (grands ou petits) est celle du Deep State d’une manière analogue à celle toujours plus mondaine de l’Église (ex)-catholique et maintenant dite Deep Church, prête et anticipatrice au soutien du NOM.

Laisser un commentaire