Il s’est presqu’éteint, dans les habituels bavardages idéologiques et politiciens, le prévisionnisme cosmique (souvent involontairement comique) de chaque début d’année. Très nombreux commentaires ont tout de même déjà centré dans le signe de la profondeur spirituelle, discontinue et inégale à elle-même, de la gnose du monde. Elle risque, comme toujours, de perdre déjà dans les brouillards de saison la soudaine clarté apparue, comme dans un éclair d’un préoccupant temporal, du falsifiant NOM (Nouvel Ordre Mondial). Lequel cherche toujours de fourvoyer le monde dans le gris et indistinct panorama toujours plus nihiliste.

Les quatre périls visant la tête de l’humanité, selon la DSÉ (Doctrine Sociale de l’Église) : présenté dans un article de la Bussola italienne par le directeur du Dicastère, le catholique Stefano Fontana, parmi les têtes laïques les plus intelligentes dans notre ère damnée de gnosticisme !
Avant tout, il faut reporter ici une note donnée par un professeur que j’estime parmi les plus illuminés par la Grâce de nos jours : le milanais Matteo D’Amico qui le répète souvent, surtout dans ses conférences induites aussi  par la Fraternité Pape saint Pie X : “L’Eglise catholique est toujours une, unique et sainte. Elle est caractérisée par ses hommes laïcs et surtout ecclésiastiques dans toute sa hiérarchie : du simple prêtre ou bonne sœur, jusqu’au Pape, tous peuvent être hérétiques“. Et ceci, tandis la vie spirituelle de l’Église du Christ Roi de l’Univers, fêté au terme de toute la liturgie annuelle, est éternelle dans sa Vérité qui ne peut que s’enrichir dans la Tradition dans son constant approfondissement. Les “fidèles” qui cherchent de l'”interpréter” avec des critères par contre anthropocentriques, sont sujets fatalement  à l’erreur. Parfois et à nos jours toujours plus souvent, surtout au sommet du Clergé, tous nommés à notre époque pour entamer leur carrière en tant que philo-saintgalliens hérétiques, comme de suiveurs de la double hérésie du très prolifique jésuite allemand, Karl Rahner (qui désormais vivait publiquement avec son amante et sans plus dire Messe…). Le fait que le Saint Esprit puisse avoir, dans son insondable sapience, voulu expressément permettre cette élection pontificale, ne peut pas changer ce jugement obligé d’une partie importante des catholiques,  apparemment téméraire. L’affaiblissement du Catholicisme christocentrique était, en effet commencé déjà plus d’il y a cinq siècles avec le protestantisme luthérien et celui anglican. Il s’est progressivement encore plus fait remarquer  par une poursuite continue de l'”esprit du monde” actuellement même arrivé à incarner l’ère de l’Antéchrist. Laquelle, dans sa recherche du Martyre de la Foi, s’est située aussi dans son modernisme gnostique et irréligieux désormais fatigué, ainsi qu’il avait été prophétisé même dans les Saintes Écritures, depuis des millénaires. De la sorte, la phase suprême de l’hérésie, toujours révélée et battue par la Trinité et qui a souligné toute l’histoire de l’Église dans sa conséquente civilisation occidentale, est arrivée à son stade qui est possible dénommer final. Dans lequel le faux et l’ambiguë se présentent désormais sous les semblants de la Vérité e de la Liberté. En réalité, l’hétérodoxie moderniste et actuellement mondialiste n’abandonne plus le Corps Mystique de l’Église, mais l’occupe continuellement d’une façon apparemment auto-légitimée. En installant, entre-temps, une idéologie dans laquelle tout est rapporté à la mesure d’homme immanent et à ses lois rationalistes dites  “progressistes”. Et non à Dieu et à ses Lois divines toujours rationnelles ! Naturellement, à cet assidu projet diabolique global, la DSÉ a opposé l’analyse des actuels possibles coups mortels de pistolet, pour mettre en garde les fidèles chrétiens, afin qu’ils résistent, comme toujours, à Satan !

Revenu universel, abolition de l’argent en contant, vaccination obligatoire et mort politique du trumpisme  : voici quatre possibles et proches coups de feux au cœur de l’humanité, déjà esclave de la grande gnose mécréant et réductiviste du totalitarisme soft moderne.
Tout le primitivisme anthropocentrique, réduit aux très limitées capacités perceptives parmi celles immédiatement compréhensibles par l’homme de la technique dite moderne, sont déjà résumées dans ces quatre menaces pour l’humanité. Cependant, il est nécessaire avant de reporter la description de ce quartet infernal, il est indispensable éclairer un aspect éclipsé du mot “nihilisme”, après l’avoir fait pour le concept sur la sainteté éternelle de l’Église. Lequel a d’abord toujours existé : notre époque moderne n’a fait que le révéler dans toute sa mystification et pour sa totale domination. Par des millénaires il était appelé “gnose” plus ou moins païenne ou athée, toujours sans sens et sans but dans la vie réelle. Il est de ce jour que le Catholicisme peut être encore plus fier de la révélation de cette diabolique idéologie structurellement toujours aux antipodes de la Tradition. L’attaque forcenée à l’Église romaine a aussi comporté la néologie terminologique de nouvelles expressions parfaitement synonymiques à s chrétiennes ! La Doctrine Sociale de l’Église catholique, encore une fois, a déniché les principaux en-têtes de l’attaque globale que le mondialisme, justement gnostique ou agnostique, est en train de mettre en acte contre l’humanité résiduelle “faite à image”  divine.  Elle est composée de ses trois dimensions éternelles : l’économique, la culturelle et la politique, donc de nos jours de totale surveillance et control totalitaire, ainsi que du pathologique concernant tous nos congénères sur la Terre. Avant tout, le non naturel est entré déjà en action avec  le “revenu universel assistentiel à gogo” qui, grâce à Biden, à la Chine, à l’influent directoire surtout nordique européen et à un certain opportunisme aggravé par les terribles effets économiques du Covit chinois (pour des peuples qui sont devenus en surcroît abrutis par l’hédonisme clochard en voie aussi de disparition). Il a déjà réduit notre monde au maximum à l’encontre des grands masses, pour être majoritairement et généralement approuvé “démocratiquement”. Puis, la vaccination antivirus obligatoire et l’abolition de la monnaie en comptant, en constituent les secondes dimensions culturelles et, en même temps, celle de la totale robotisation du control personnel et liberticide. C’est-à-dire celui soi-disant “thérapeutique” et digital. Une fois qu’on a affirmé et diffusé comme valeur absolue, non celui de la Vérité et de la Liberté, mais seulement celui très conséquent de la santé collective, on est complètement disposés moutonnement à la programmation préalable et continue de toute l’existence. Aussi bien dans sa “production” que dans sa “consommation” !

La profondeur  du “Deep State” et du “Deep Church” est très superficielle : elle s’appelle, tout simplement  “pensée unique et réductrice”. Et liquide, mais bien structurée dans la bureaucratie .
Le rationalisme (absolument non rationnel), c’est-à-dire appliqué à toutes les manifestations factuelles de la vie déjà totalement esclavagées par le plan économico-culturel, il n’est pas oublié par celui décisif de la politique ! Ici le problème est déjà beaucoup plus complexe et difficile : l’immense pouvoir des choix organiquement structurés de la part du “Deep State“, c’est-à-dire de l’État gnostique et étatiste, est au fait qu’il est profondément enraciné déjà à l’origine par le Péché originel. Ainsi, il est nécessaire de disposer de l’obéissance totale de la très grande majorité via tous les médias bien souvent seulement bavards. Il y a tout de même toujours l’homme imprévisible qui, avec sa Liberté (par exemple monsieur Trump) et la majorité environs des Américains qui se mettent également de travers et en totale opposition aussi bien au “Deep State” qu’au “Deep Church” (hérétique, de surcroît). Lesquels continuent à suivre l’horrible tendance historique de la gnose. C’est pour cette raison que tous les incroyant néo-païens de la Planète se consacrent à détruire le projet humain résiduel, afin d’assurer l’accomplissement funeste du Nouvel Ordre Mondial, même pour le futur. Qu’il s’appelle Trump ou, plus modestement Salvini, on doit faire en sorte qu’on continue à violer la même démocratie dictatorialement trompée et bypassée désormais ouvertement. Et par les progressistes gauchistes eux-mêmes, apparemment et hypocritement supportée ! Aussi per presque tout le Clergé, y compris l’actuel Pape et ses évêques silencieux opportunistes, sont explicitement ou très implicitement favorables à ce projet très mortel : le plus dangereux destructeur totale de l’histoire de l’humanité ! Lequel répond systématiquement au nom mondialiste du NOM.

Le mondialisme comme accomplissement de la “nouvelle” religion qui n’est que la classique gnose, mise à jour par l’universalisme syncrétiste de toute la méconnaissable civilisation occidentale.
Comment penser que la partie du peuple sain et irréductiblement humain, et avec les yeux adressés au profond du Ciel, ne se rebiffe pas (même violemment) à cette océanique avalanche suffocant de terribles tyrannies, mortelles non seulement pour l’esprit ? Attention, le mot “esprit” n’évoque pas – ainsi qu’il arrive souvent – un certain spiritualisme abstrait et totalement débranché de la vie concrète. En continuant à falsifier tout, les médias mondialistes et leurs marionnettistes insistant à présenter pour vraies leurs versions racontées sur les évènements et sur les faits parfaitement falsifiés. Ils sont en train de remodeler par contre le monde d’une façon anti-ontologique. Le fameux et unique mot par rapport à l’histoire (!) prononcé par Christ : “Je suis la Vérité, la Vie et le Chemin” se confirme à toujours comme la triade en complet antagonisme à la gnose actuellement  dominant. Laquelle est très majoritairement jaillie d’un anthropologisme remplaçant celui éternellement religieux (en  latin il est l’étymologie de relié). Après l’événement Trump, on peut commencer à parler dans un dialogue rigoureusement rationnel dans lequel les mots sont valables bien davantage   pour le signifié eschatologique que l’on peut leur attribuer. Mais la massification de cinq siècles de guerres et de révolutions sanguinaires, jusqu’aux bombes atomiques et aux immédiatement  précédents fours crématoires nazis, ont transformé peut–être même déjà d’une façon anthropologique le monde. Ou, tout de même, dans ses comportements humains (si pas vraiment dans leur nature) au point que même les républicains de Trump retournent facilement et superficiellement leur veston : comme leurs collègues des soi-disant “responsables” italiens en parlement. Prions !

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