Biden avec ses

Depuis un demi millénaire, l’ancien gnosticisme est devenu “néo-païen”, en atteignant le niveau  perfectionné des toutes les falsifications publiques, sur le plan historique et de l’authenticité.
Le passage, il y a un demi-millénaire, de la religion ancienne à la philosophie dite moderne et plutôt athée, s’est caractérisé par un divorce idéologique profond et un refus de l’existence de Dieu. Dès ses origines, le gnosticisme païen bien s’accommodait encore de l’existence du polythéisme anthropocentrique (toujours on ne peut plus immanent), ou du monothéisme même Trinitaire, pratiquement très superficiel à peine perceptif. Toute la philosophie post-moyenâgeuse avait, entre temps, déstructuré progressivement la présence du Dieu dans la vie humaine. La conception de l’existence devait se “libérer” de ladite obscurité du Moyen–âge :  on le dit encore aujourd’hui sans vergogne, malgré l’unanimité contraire de la grande historiographie. Le mouvement culturel de pulvérisation téléologique du protestantisme en fit même son cheval de bataille… La thèse était et demeure la même : “l’homme n’a pas besoin du carcan religieux de ses croyances anciennes et survivant dans la contemporanéité, comme une sorte d’opium des peuples“, de marxiste mémoire… En réalité cette idéologie fut la généalogie, par après, de tout le mouvement moderniste déjà en réel décrépitude, mécréante et immanentiste, qui encore de nos jours poursuit le broiement de la pensée devenue ponctuellement unique et liquide. L’impossibilité, grande et même théoriquement évidente de la soi-disant “autonomie” très scientifique (en réalité plutôt scientiste !) des hommes désormais soumis à la technique, est devenue tragiquement très majoritaire dans le chaos et le réductivisme infantin actuel. Une pensée, celle-ci, standardisée, simpliste et rationaliste (absolument non rationnelle !) qui domine toute l’opinion et les manifestations de la vie scélérate, misérable et funeste de notre temps. Du reste aussi ingouvernable, sauf et à la seule condition de la terroriser à l’avance, dans l’angoisse de la vie dite moderne ! Sans la survivance de l’obéissance à Dieu et à ses Lois, divines et rationnelles, il arrive ainsi, très rapidement, l’hétéro-obéissance totalitaire aux opinions infinies et massifiées des multitudes dans l’inévitable damnation humaine. Au plus haut degré de “spiritualisme” perverti et dégradé, on atteint maintenant dans la culture la plus sophistiquée du… banalement ancien panthéisme simpliste du NOM. Lequel produit les régressions de la civilisation des droits totalement désormais ignares qu’elle dérive de l’obligation préalable et bien obéissante aux correspondances des leurs intrinsèques devoirs ! Jusqu’à la démence propre de toutes les idéologies. Avec en tête celle également de l’Union européenne et du gender. Ainsi que de l’adoration des soi-disant lois de l’ambiant dit écologiste, incommensurables et idéologiquement étrangères aux pouvoirs exclusivement humains.

Le réel silence informatif de la part du “mainstream”, au niveau mondial et par ordre de l’idéologie NOM, n’a été rompu que pour continuer la mystification du soi-disant “nouveau” président Biden, dans l’océanique désinformation par défaut sur le sujet toujours en acte.
Ces dernières élections américaines encore en cours et non solutionnés ont été en effet falsifiées et contestées d’une façon éclatante. Tout le monde aux États-Unis le savait presque immédiatement, les républicains comme mêmes les “déms”. Trump dénonça les fraudes tout de suite, ne reconnaissant pas la victoire de Biden (encore aujourd’hui, naturellement). La presque totalité de tout le système médiatique se réveilla le lendemain des élections dans la surprise d’un renversement à sa faveur inespérée et pendant toute une nuit déjà métabolisée ! Il était arrivé que pendant la nuit (non seulement américaine) tout le vaste système des falsifications frauduleuses s’était accompli, car aussi déjà préparé et organisé à l’avance : des innombrables remplacements de bulletins de voix jusqu’aux tricheries informatiques (même par centaines de milliers !)… Le Nouvel Ordre Mondial  avait déjà accompli une propagande très intense avec tous ses grands médias mondiaux asservis (la presque totalité !), pendant beaucoup d’années de notre contemporanéité. Les masses des populations, à la toujours plutôt courte mémoire (comme on sait), ont assez vite commencé à adhérer à l’idée qu’une fois la nouvelle transmise, d’une façon aussi compacte et assidue, il fallait accepter l’issue renversée de l’évent. Entre temps, tout le parti de Trump s’est mis à recueillir, malgré les boycottages, milliers de preuves personnels mêmes assermentées, des manumissions des softwares des servers (surtout Dominions) installés à l’étranger (au moins, il parait, dans cinq Pays : Allemagne, Angleterre, Espagne, Serbie et… Venezuela !). Y compris les irrégularités procédurales politiques et autres fraudes incroyables pour la réputée première démocratie au monde : on a fait voter même beaucoup de morts, jusqu’à un nombre qui a rendu les votants supérieurs aux habitants même d’une Contée… En supplément, Trump a dû même limoger son ministre de la Justice qui avait continué son coupable silence peureux et complice sur les procédures judiciaires des trahisons de Biden et de ses deux fils. Lesquels en famille, sont en accords antipatriotiques avec des Pays étrangers, y compris surtout la… Chine (!). Contrairement à ceux déjà résultés faux du russiagate au dépens de Trump. Et de son fantomatique divorce familial avec son épouse slovène, qui s’est présentée voilée (chose désormais rarissime !) au Pape très hostile Bergoglio avec son chapelet du Rosaire pour qu’il le bénisse… Toutes ces preuves continueront même à être rendues publiques et légalisées, au fur et à mesure, dans les jours et semaines prochaines.

Quoi justifie cette lutte irréductible entre une majorité des populations totalement manipulées par une hyper-désinformation, même sur le Covit, et de la part d’une minorité puissante très bavarde et néo-païenne ? Avec le but de l’esclavage moderne gnostique : sa mécréance non plus déiste.
Le choc des oppositions est à présent entre partis gnostiques dans le monde entier, aussi bien de gauche que de droite : il n’a jamais été si radical. L’antagonisme est donné par la seule vision globale antagoniste de l’existence, comme celle de la gnose opposée à celle religieuse, notamment catholique en tant que seule religion se revendiquant unique et Vraie, fondée par la Trinité pour le Salut éternel des hommes : de la part gnostiques, surtout néo-païenne. Le NOM a été inventé exprès, à “fondement” d’une nouvelle civilisation qui s’est déjà auto-certifiée fausse et vaine. C’est bien celle-ci la néo-gnose moderniste, obnubilée par son idéologie falsifiant les principes naturels et ontologiques. Qui par contre sont destinés à s’opposer sans quartier à toute autre religion ou philosophie ayant la prétention d’une vision globale et globalisant qui pourrait, avec sa pensée, lui entrer en collision frontale. Pourquoi “frontale” ? Pour la simple raison que la gnose se prédispose à l’avance pour falsifier la réalité en tant qu’idéologie, comme disait mirablement saint Pie X, dans sa Pascendi d’un siècle passé. Ainsi, on voit se représenter le dilemme classique: “Je crois pour connaître” ou bien “je connais pour croire”? Ce dilemme choisi par la gnose moderne, surtout philosophique, à la faveur de la deuxième option, a fait tellement tomber tout le monde amoureux de son intime et auto-orgueilleuse option, qui a permis de voir condamnés à ne plus sortir de la classique caverne de Platon ! Par exemple, le seul fait que l’on nait et l’on meure sans aucune possible intervention directe et artificielle de l’homme en question, montre que l’on est redevable d’une intervention autre que seulement naturelle. C’est bien celle-ci la raison profonde de la diabolique détermination à légiférer en faveur de l’horrible “naissance  pour autrui” et pour l’assassinat d’innocents par avortement… Sans pour autant aller déranger les cinq géniales démonstrations de l’existence de Dieu de saint Thomas d’Aquin, ou celle des innombrables philosophes et théologiens qui se sont penchés sur le sujet… Ainsi, on se retrouve en face d’une idéologie exclusivement anthropocentrique, subjective et à priori fallacieuse qui nous amène dans un coin fatalement sans issue. Le problème, de telle façon sans possible solution historique et philosophique, est aggravé par la très triste réalité pour laquelle on est malheureusement contraint de constater que l’on dispose actuellement d’un Pape hérétique. Lequel introduit continuellement des contrevérités hétérodoxes de type modernistes et relativistes à côté d’une multitude de principes dogmatiques de la Révélation, ou du Magistère ecclésial, dans la Doctrine catholique. Sans la critiquer nullement et ouvertement ! Méthode honteuse, celle-ci, magistralement décrite par Pape Pie X. Qui a été précédée et suivi par au moins six Pontifes naturellement concordes et, plus en général, avec toute l’histoire millénaire de l’Église. La chose rends particulièrement dangereuse cette hérésie moderniste car elle est apparemment “respectueuse” (au moins officiellement) de la Tradition sans la célébrer… Par contre on ne peut pas choisir, avec l’excuse de ladite “moderne pastoralité” en vogue dans l’Église catholique, que l’on aime continuer à confectionner, comme dans un cocktail infini, la base traditionnelle du Catholicisme en ajoutant les poisons toujours mortels de la panoplie moderniste. Elle est indiquée précisément par la Tradition d’au moins cinq siècles de Papes et Conciles. Le Catholicisme n’est pas un cocktail NOM à l’enseigne de la religion syncrétique du soi-disant futur mondialisme.

À la destruction systématique de la seule solution terraine et éternelle, constituée par l’unique Église (exclusivement catholique et pétrinienne), s’est ajoutée la folie de l’apostasie d’une majorité du Vatican avec le modernisme. Aussi en accord avec l’infernal mondialisme du Nouvel Ordre.
Pour être hérétique, selon la doctrine canonique de l’Église, il suffit d’insérer, par simple ajout et inclusion – en supplément et en antagonisme même sans le dire ! – de nouvelles théories aussi bien orales ou par des actes. Et c’est typique du Catholicisme actuel dit pétrinien, opposée et rigoureusement traditionnel contre la tendance protestantisante bergoglienne, tout en adoptant et intégrant – même si d’une manière intermittente ! – des nouveaux principes dits de la “Nouvelle Église” de l’hérétique jésuite Karl Rahner totalement hétérodoxe. La prophétie de l’Antéchrist, non seulement évangélique, n’est pas de nos jours impertinent à y faire allusion… Le rapprochement ainsi au Mystère de l’Unité Mystique du Christ, à sa sainte Adoration et à la Foi intime à sa culture catholique rigoureuse, est tout ce qu’il faut poursuivre en priant intensément autour des Sacrements. Il faut cultiver aussi l’humilité de sa propre impuissance (on ne peut plus puissante dans sa propre soumission volontaire et libre à la Volonté de Dieu). En demandant chaque jour le discernement, sous le guide méticuleux de da Doctrine Sociale de l”Église, afin d’intercepter le dessin divin de Dieu. Toujours disponible à se manifester dans la recherche des Lois et de Sa présence. Le rendez-vous, actuellement, est historiquement concentré au 6 janvier 2021 où le destin du monde est localisé aux États-Unis. Biden et ses démocrates américains, ainsi que les médias mondiaux, ne pourront plus échapper au jugement final (quel qui soit) de cette issue de la démocratie aussi mondiale que leur infâme conception a essayé, encore une fois, de falsifier avec éclat. Le fidèle catholique qui est syntonisé sur une autre longueur d’onde – qu’elle soit spiritualiste (“religieusement bergoglienne”) ou symétriquement matérialiste (indifférenciée politicienne, ignare ou subordonnée sans le savoir), a la possibilité se donner la mesure de son abstraction de la réalité du monde. Et de sa propre vraie dignité !

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