L’intervention du Pape François à la faveur des homosexuels bien médiatique et très médiatisé, civilement inutile, religieusement impertinente et – désormais, comme d’habitude – hérétiquement ridicule, vient d’accomplir une étape cruciale du Catholicisme et de celle civile relative au monde entier. Il est ainsi temps de fixer, de ma part, un nouveau point de la situation italienne, qui se rapproche encore plus significativement de celle planétaire. Dans l’unique, seule et salvifique Église de Rome, toujours éternelle !

La goutte d’eau perforant le rocher : de nos jours, avec la faveur impénétrable du Saint Esprit, il se rend évident le miracle chrétien de la Vérité indissolublement conjuguée à la Liberté.
Leopardi, le plus grand poète et philosophe italien de l’ère moderne, même au niveau mondial, publiait il y a deux siècles ses petits livres universels en se les payant (en compte d’auteur), avec un tirage d’à peine 300 exemplaires et toujours en retard (après avoir sollicité son petit éditeur à plusieurs reprises). Aujourd’hui, grâce à la bien réputée et dite  très “faible” importance des social networks, la communication s’est beaucoup améliorée, au moins sur le plan quantitatif ! Souvent elle est même déterminante. Que l’actuel Pape “courre après le monde” et non “à la recherche de Dieu et de la Tradition théologique outre que magistérielle de son Église” est ainsi chose généralement acquise, ou presque. Et ceci, même pour beaucoup de simples fidèles catholiques non armés de connaissances philosophiques et conscience théologique. Ainsi, la toute dernière intervention de Pape François à la faveur indue de lois civiles relatives aux homosexuels, alors que le “depositum fidei ” (le premier, préalable et indispensable devoir d’un pape, dont il doit s’occuper dans la garde desLois de Dieu) est devenu très connu politiquement. Et ceci, surtout dans notre époque,  en opposition de la promotion de sa Doctrine Sociale, dans la lutte irréductible à l’encontre de l’étatisme toujours sacrilège et dominant. Et à la condamnation des comportements,  voire de lois définies pécheresses, depuis les Évangiles… Ou tout au moins, en garantie de leur conformité ou compatibilité, en considérant qu’elles soient laïques et étatiques. Mais relatives aux Principes tout de même divins et éternels du droit naturel rendu clair par le même logos. Les lois et les usages des démocraties sont par ailleurs juridiquement déjà très protectrices des “intérêts” homosexuels au point que, s’en occuper de la part du Vicaire de Christ, apparait en l’occurrence non seulement pléonastique, mais parfaitement impertinent et diaboliquement hérétique. Surtout en relation aux jugements historiques, même dans le devoir dogmatique, donc dans le sens documenté et originaire de l’Église catholique.

La preuve de la ligne hérétique de ce Pontificat est donnée aussi par les applaudissements au Pape de la part des modernistes gnostiques, souvent athéistes et habituellement laïcistes acharnés.
J’en parlerai dans ce long post ! À présent, cette intervention médiatique et fatalement très médiatisée à cause de son sujet sexuel  choisi même exprès, a été minutieusement construite afin d’en assurer le parfait pré-dispositif d’exploitation typique du modernisme civil et religieux. Il se place à l’intérieur de la tendance hérétique prédominante dans notre ère relative au  Catholicisme. Cette tendance hérétique fonde toute son ambiguïté intrinsèque sur la description magistrale du Pape saint Pie X à propos des mécanismes, dans son encyclique “Pascendi“, d’il y a déjà plus d’un siècle. Il avait, en effet, défini  le modernisme comme la synthèse de toutes les hérésies” : en motivant le tout et en incluant les innombrables actes et dégénérations théorétiques très pré-ordinairement réalisées (et non en sostitution!), de norme presque en cachette. Et d’une manière parfaitement indifférenciée à la rigueur de la Doctrine Traditionnelle catholique,  mais en leur réservant l’éclatante actualité que Christ définissait déjà dans les Évangiles : “la fausse et horrible mentalité du monde” ! C’est pour cette raison que je soulignais dans le titre général de ce post l’intervention papale très médiatique. Et c’est pour la même raison que j’ai mis en évidence l’indispensable œuvre de rédemption du Saint Esprit. Laquelle, seule (!), peut toujours permettre, avec la persévérance du devoir catholique d’une petite partie de l’Église, même avec celle centrale de certains cardinaux jusqu’aux fidèles les plus simples, de rester interne à l’Ecclésia dans leur dénonciation publique la plus explicite. Tout en conservant leur originale nature catholique. Il s’agit là du miracle chrétien de la Liberté dans la Vérité: chose autant inexistant plus qu’aujourd’hui rare !

Le fidèles catholiques qui contestent ce Pontificat d’hérésie moderniste ont atteint eux aussi une sorte de stade décisif et lumineux dans leur propre démarche critique, dans la rigueur de Foi.
La contestation de l’hérésie moderniste était très critique et déjà active depuis les siècles de la post-Renaissance et de la révolution française, dite des Lumières, mais jamais schismatique. Déjà le terrible schisme anglican et luthérien avaient fait école ! Ainsi la dérive, accélérée, hétérodoxe et jésuitique (moderne, non ignacienne) de Pape François, n’est que le résultat final de cette progression dans l’abominable, fruit de l’absurde “révolution” (mot qui ne devrait jamais exister dans le Christianisme) irréligieuse car anthropocentriste, surtout à partir du siècle passé. La vision du monde théocentrique, propre à la suprême grandeur du Moyen-âge (particulièrement diffamée par l’écervelé et ignorant laïcisme contre aussi tous les grands chercheurs historiens même dits “laïques”), avait été remplacée progressivement par la toujours prévue et fatale issue historique du nihilisme. Celui de la gloriole se revendiquant exclusivement des soi-disant forces exclusivement humaines, donc inévitablement mortelles. C’est-à-dire à l’enseigne du destin naturel de l’homme qui ne peut que naître e mourir sans aucune de ses “puissantes” interventions tant proclamées. Jusqu’au relativisme et au subjectivisme les plus individualistes. Et dépendantes des pathologies de la folie la plus démentielle. Celle qui aujourd’hui finit par obéir non à Dieu et à ses Lois, mais au Nouvel Ordre Mondial  hérité de l’idéologie franc-maçonne et, de nos jours, tout bonnement onusienne. En ce qui concerne la parallèle dépravation de l’Eglise catholique, propre  de l’hérésie finale rahnérienne (tant chère à Pape François et à l’Église allemande adhérant aux idées modernistes et protestantisant du Groupe Saint Gall). Dits de la “Nouvelle Église”, doublée par la pensée unique et liquide, triomphant dans notre époque scélérate. Laquelle se veut tragiquement politically correct au lieu qu’à la recherche de la Vérité Unique et éternelle. Hérésie, celle-ci, dénoncée initialement même par le Pape saint Paul VI, déjà à la fin des années 60 début 70, comme “fumée de Satan infiltrée aussi dans l’Ecclésia du Christ” !

La diaspora des catholiques dans les idéologies plutôt antireligieuses a rendu évident, pour une leur partie considérable, l’insignifiance de leur militance dispersée parmi les ennemis de la Vérité.
L’actuel courage du dicastère de la DSÉ (Doctrine Social de l’Église) de déclarer l’hétérodoxie naturellement  inacceptable de toutes les manifestations modernistes du clergé et du Pape François – tous très actifs jusqu’à l’activisme forcené – est en train de rendre conscients beaucoup de fidèles catholiques, en diaspora auprès les idéologies des partis déniant même le “droit naturel” et la Révélation. L’absolue marginalité plutôt insignifiante de leur militance “catholique” dans ces idéologies et partis politiques bourgeois, indifférents radicalement, en tant que relativistes dits “progressistes”, à la Vérité Unique, est devenue enfin évidente. Ces catholiques, souvent tout de même intelligents, cultivés et soucieux dans la rigueur théologique, sont même en train de se “convertir” à l’idée que sans parti vraiment catholique, il ne sera même pas possible de refonder une société civile dotée d’un minimum de vrai dialogue rationnel ! La condition indispensable est que ce parti à fonder, développer et à ramasser dans le Corps mystique, doit militer ouvertement et rigoureusement sous l’Autorité doctrinaire de la DSÉ et des “Principes non négociables”. D’autant plus que tous ont pu vérifier l’inutilité de cette militance qui devient toujours profondément bancale,  encore plus de leur vote favorable aux élections politiques à ces partis gnostiques, qui ne le savent  pas et sans en connaître le sens… À défaut d’un parti laïque et unique de tous les catholiques, positionné  à défense du droit naturel dépendant des devoirs ontologiques de l’humain, et non des soi-disant droits orphelins de toute paternité juridique et de légitimation rationnelle, il n’y a que la pratique irraisonnable de la folie antihumaine et totalitaire du projet du NOM (Nouvel Ordre Mondial). Notamment adopté idéologiquement et pleinement par l’actuelle majorité de l’Union Européenne. Avec sa devise monétaire dictatoriale, irrationnelle et gérée d’une façon tout à fait partisane par le biais de l’Euro. La même idéologie anticatholique de Pape François.            

Il est donc temps de procéder à un bilan du Catholicisme officiel relativement à son actuelle stratégie du “schisme interne” de la rigueur pétrinienne indéfectible de ses fidèles, en diaspora.
C’est depuis plus d’un quart de siècle que la généralité des Catholiques opère dans la confusion doctrinaire produite par cette tendance toujours opérationnelle, dans l’hétérodoxie. Laquelle s’est accomplie, depuis un mouvement d’au moins un demi-millénaire, avec les dérives vers le modernisme personnifié, à présent, par le Pape actuel. Mais ceci, qui a été globalement défini  la “Crise du Catholicisme”, est aussi le résultat de la grave et sombre décision d’éliminer, depuis le début des années 90, les partis politiques dits “démo-chrétiens” très dégradés, surtout des catholiques (pratiquement en Occident et en Europe). Ceci a généré l’inévitable phénomène honteux des catholiques, culturellement bien désemparés, qui se sont mis au service – selon les goûts personnels ! – de plusieurs partis de conception idéologique plus ou moins gnostique. Et, de pratiques opérationnelles politiciennes et radicalement activistes : à la manière, il va de soi, nihiliste et majoritairement réductionniste, même lorsque la responsable de la chose était, et encore demeure, l’ignorance voulue. Il s’est ainsi produit, par conséquent, le paradoxe le plus étonnant et vicieux constitué par les fidèles catholiques auto-conscients de ce désastreux processus dégénératif censé d’en être leur cause. Le seul auto-défini  exclusivement humain et, que l’on dit, “non-affranchi de la généralement dite dictature religieuse réactionnaire“. Ces catholiques sont également les seules à détenir, par contre, l’analyse correcte de la générale dépravation rebelle et déréglée encore en cours. Par ailleurs, ils se sont retrouvés, même avec des prélats de la hiérarchie ecclésiale et d’une partie importante des actuels catholiques vraiment antimodernistes, tout de même papistes et non vraiment pétriniens, à être accusés de trahison des principes catholiques ! À l’évidence, par contre, ils défendent toujours avec leur Espérance théologale, rigoureuse et avec leurs prières pour la conversion du Pape lui-même,  le Dépôt de la Foi de l’Église catholique : y compris le primat absolu du même Pontife, comme vocationnel  Vicaire du Christ ! En effet, on a évité jusqu’à présent l’encore active stratégie dite du “schisme interne” de Pape François qui, en pratiquant d’une façon intensive des déclarations et des actes de modernisme, lequel – en se proclamant “intègre et catholique” – par définition a la tendance à expulser tous les mêmes contestateurs pétriniens de l’Église.

La priorité très urgente de la fondation du parti laïque unique des Catholiques et des “hommes de bonne volonté”, pour chaque Pays au monde : dans la Tradition de l’indispensable Doctrine Sociale de l’Église, sur des positions théologiques toujours parfaitement catholiques et rationnelles.
L’urgence de fonder et développer ce parti laïque et unique pour tous les chrétiens est de plus en plus motivée par le fait que la partie rationnelle de l’humanité, même si non croyante dans le Christianisme, reconnait en grande partie le rationalisme même historique (actuellement trahi) de l’Eglise catholique non christocentrique. Tous ces hommes de bonne volonté disposent de la même conception de la vie rationnelle et non nihiliste et haïssent le soi-disant “droit positif” seulement anthropocentrique et, en réalité, l’irrationnel jusqu’à la démence dont la politique fait la tragique actualité quotidienne. C’est bien celle-ci l’idéologie à dominer l’actuelle Union Européenne et non plus le  projet  de la Communauté Européenne initiale, complétement bouleversée de ses trois grands fondateurs catholiques : Schuman, Adenauer et De Gasperi. Cette très funeste idéologie actuelle, qui pilote de nos jours majoritairement notre Vieux Continent, comme déjà vu ô combien de fois (même dans ce Blog), adhère au NOM des mondialistes, dont Pape François aspirerait, selon une opinion très répandue, même à en devenir le premier et risible Président mondial organisé
L’autre raison de cette urgence fondatrice est celle – surtout à défaut d’avoir un sommet de l’Église vraiment catholique et fidèle à la Foi évangélique – de mettre au centre du Catholicisme la Doctrine éternelle, de nos jours très ignorée. Et notamment la Doctrine Sociale de l’Église qui, pertinemment, peut conduire le juste rapport social et politique avec ce monde, de la part du Ciel éternel.
J’aime citer ici rapidement quelques lignes de la “Doctrine catholique” – republiée mise à jour par Pape Vojtyla– que l’ex-secrétaire, Gianfranco Amato, du parti catholique italien expressément fondé, le Peuple de la Famille (qu’il avait abandonné), vient de recommander, dans une de ses géniales interviews, d’apprendre par cœur. Car (au 675 de cette Doctrine) on apprend la description prophétique de la situation du Catholicisme actuel bien dite, médité et écrite il y a ô combien de temps, même millénaire…
“Avant la venue [à nouveau] du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui bouleversera la foi de beaucoup de croyants. La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la Terre dévoilera le mystère d’iniquité sous la forme d’une imposture religieuse qui offre aux hommes une solution apparente à leurs problèmes, au prix de l’apostasie de la vérité. La falsification maximale religieuse est celle de l’Antéchrist, c’est-à-dire d’un pseudo-messianisme dans lequel l’homme glorifie soi-même à la place de Dieu et de son Messie venu dans la chair”.

Cela tombe parfaitement, même dans le détail, aussi bien pour l’Église en crise que pour le monde actuel  aussi perdu dans les ténèbres. Le parti catholique, Peuple de la Famille, auquel j’avais moi également adhéré  et pour lequel on m’avait même proposé publiquement (et, par chance, en vain) de me porter candidat aux élections (à moi et mon épouse), suit toujours plus la ligne papiste (et non pétrinienne) du  Catholicisme romain, surtout dans le but  de se faire en quelques sorte “reconnaître“: en vain !
Avec la même façon, ce parti s’est aligné à un parti européen, lui aussi, plutôt mondialiste et politicien (le PPE : parti plutôt gnostique malgré sa position située assez à droite).
Pour ces raisons, je suis sorti ce de ce parti qui n’est plus le mien, ni à cause de son mondialisme papale acquis que pour son adhésion, non seulement de convenance, à une hérésie impossible à suivre dont  j’ai déjà parlé et dont je cite les traits essentiels dans ces deux prochain chapitres.

Lorsque c’est le Pape lui-même qui se trouve à la tête de l’hérésie moderniste, panthéiste, migrationniste, politicienne, réductionniste … y compris contre la Vérité Trinitaire en hétérodoxie !
Comment voter et s’engager activement dans un parti prétendu, au moins dans ses anciennes  déclarations, catholique de la plus haute intégrité mais conduit, dans l’Église, par un pape hérétique : cette vérité doit être dite, désormais, vraiment criée sur tous les toits ! Elle est même politiquement et ouvertement opportuniste et matérialiste-gauchiste, dans un immanentisme à peine masqué d’un occasionnel spiritualisme très peu vertical, voire mondialiste et syncrétique ! Comment pourrait-il être possible ce tour de force lorsque, par exemple, ce Pape s’est même rendu en Suède pour participer aux festivités protestantes pour le cinq-centième anniversaire due leur schisme luthérien (qu’a-t-on à y fêter en tant que catholiques ?) ; lorsque aussi il a exposé au culte la statue en Vatican de Luther, alors que le Concile de Trente l’a expressément condamné à l’enfer ;  lorsqu’il s’est fait photographier à genoux pendant que deux pasteurs protestants le bénissaient… ; lorsqu’il a signé un accord religieux plutôt à l’unisson (!) avec un des chefs de l’Islam ; lorsque il a introduit en Saint Pierre un culte païen de l’Amazonie ; lorsqu’il vient de publier une encyclique quasi totalement écologiste (!) en correspondance d’ avoir rencontré favorablement la jeune étudiante suédoise “leader” panthéiste mondiale ; lorsqu’il vient de promulguer une autre encyclique au langage ambiguë (selon la méthode relativiste moderniste et toujours dans le style “Tous Frères” ayant – malgré les différentes religions – le prétendu Dieu-Père commun !); lorsqu’il vient de confirmer le monstrueux accord (secret) avec  la Chine totalitaire alors que son régime marxien et toujours athéiste détruit les églises et endoctrine violemment les “fidèles” catholiques outre à décider les nominations (!) des évêques locaux ; lorsqu’il vient de ne pas recevoir  le secrétaire américain Pompeo (venu exprès à Rome) en raison du fait que le Pontife ne s’occuperait de politique, tandis qu’il a explicitement endossé, à peine quelque jours après, l’élection de l’avortiste actif et déclaré, Biden (comme madame Clinton, son ex-chef de parti…) ; lorsqu’il place à d’importants postes du gouvernement ecclésial les leaders sud-américains ses amis de la condamné par plusieurs Papes, l’athéiste et collectiviste “théologie de la libération” ; lorsqu’il continue, après plus de cinq ans de silence rompu seulement d’invitations enthousiastes à un impossible accueil des émigrés même clandestins et illégaux vers l’Europe (que les populations non seulement continentales ne veulent absolument pas) et que ses évêques – tous ! – voire également les missionnaires des Pays de départ des migration même illégitimes implorent (restés tous toujours sans réponse !) contre cette folie irresponsable vaticane d’un “migrationnisme illégal, massifié, anti-identitaire, quasi totalement jeune et masculin” des peuples de l’ex-tiers monde (par ailleurs, en plein développement économique) : ces migrants devraient rester, évidemment, dans leurs propres Pays pour les développer politiquement, économiquement et culturellement alors que leur démarche actuelle ne peut que se solder avec un destin inévitablement tragique de chômage parasitaire, de concurrence néfaste aux immigrés déjà intégrés et aux travailleurs européens bien prolétarisés, même au-dessous du minimum reproductif, comme les mauvais “maitres” nord-occidentaux (à leur tour, en grand chômage) ; et, enfin, lorsque ce Pape continue ses absurdes invitations à la réelle impossibilité de les accueillir, on est aussi justifiée par la précarité délinquante et d’esclavage moderne à laquelle ils sont destinés ces immigrés à cause de la crise aussi économique de l’Occident (comme, par contre, les migrations même très requises, vers les Pays dits riches des deux siècles passés)…

Sous la certitude Trinitaire du triomphe final et téléologique du Christianisme, il faut que les Catholiques prient pour l’unité de l’Église, la seule dans la Vérité aussi bien dans sa verticalité éternelle que dans son Royaume aussi sur Terre : avec un parti vraiment catholique unique.
Finalement, comment pourrait-il être possible cette adhésion de la part des catholiques à ce parti du PdlF, disais-je, lorsque on est induit, par tradition, à adhérer diaboliquement à une vision hérétique  du Pape lui-même, réduite à une religion civile fondée sur le gauchisme, le péronisme, l’idéologie franc-maçonne, le mondialisme, l’homosexualité pratiquée et de facto admise, le choix politique du dit de l'”avortement libre”, l’ostracisme à la sainte recherche de la théologie catholique d’approfondissement de Sa Vérité (pour laquelle les actuels théologiens non modernistes devraient être tous confinés – toujours selon l’avis de Pape François, à  plusieurs reprises répété ! – dans  “une île pour leurs bavardages inutiles“… On pourrait même continuer dans le surréel récit relatif à ces narrations démentielles et nauséabondes, embarrassantes de dérives encore plus qu’hérétiques.
Donc, je reconnais à ce parti d’avoir affirmé l’urgence irremplaçable d’une fondation bien unique pour tous les véritables catholiques (qui ne l’ont nullement suivi) au moins sur le plan électoral : raison non trop marginale, par ailleurs, pour comprendre, au moins partiellement, la trahison concernant la doctrine religieuse et celle à l’égard à la ligne politique globale du mondialisme opérationnel en Europe et dans ses Pays.
Avaient-ils raison, alors, ces catholiques, qui n’ont pas adhéré au Peuple de la Famille ?
Je ne le crois toujours pas. Il est vrai qu’un silence, on dirait même d'”omertà“, d’autocensure – il me semble – que s’est installé sur la question. Surtout à l’étranger, notamment en Belgique où je vis depuis plus de quarante ans : il se peut donc que mes informations étaient, en la matière, trop rares et sans suffisants détails décisifs…
Mais la question, à ce stade, n’a plus, à l’évidence, aucune importance naturellement. La soi-disant deuxième phase de la crise globale, très grave et mondiale du Covid chinois (!), aux tendances totalitaires aussi pour les gouvernements actuels dits démocratiques ne le permet, de surcroît, même pas. Quant à la relative querelle individualiste et de petites jalousies partisanes qui ont porté au choix dément de la diaspora, il faut se remettre – de façon théologale – au Pardon réciproque divin, à la Charité chrétienne constructive et fraternelle, pour enfin affirmer l’Espoir du  témoignage instructif, même salvifique dans la seule véritable eschatologie existante !

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