L’interview la plus apparemment « méchante » est celle que l’on se fait soi-même. Elle se rapproche de la Confession sacramentelle où l’espace réservé au « moi » s’effacer au plus haut degré pour réserver la place à la gloire de Dieu, le protagoniste principale et absolu toujours en question. Si mes quatre lecteurs vraiment suprêmes veulent connaître ce que je pense et fabrique, n’ont qu’à lire. Avec critique.

Vous avez dit, monsieur Troiano, que les véritables interviews – c’est-à-dire celles les plus vraies – et leur critique la plus aiguë ne peuvent jaillir que de la conversation réalisée par l’interviewé lui-même. À la condition qu’il se positionne comme face au Créateur qui, seul, est digne de toute véritable gloire… Mais cela pourrait aussi être un autre et supérieur escamotage pour fabriquer sa propre autocélébration…
C’est exactement comme cela ! Même l’homme le plus humble peut toujours l’organiser. Pour bien décrire cette vanité extrême, Nietzsche avait écrit un aphorisme présentant une mère marchand à la suite des funérailles de son propre petit enfant ; mais le grand écrivain allemand avait mis en évidence qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de se préoccuper au maximum de l’impression engendrée par son attitude extérieure auprès du public suivant le même cortège au cimetière… Vanitas vanitatis même dans la plus haute douleur!
Du reste, la quasi-totalité des interviews que l’on lit ou écoute sont radicalement gnostiques car les intervieweurs son irrémédiablement nihilistes, souvent sans le savoir. C’est tout le risque qu’en l’occurrence il vaut la peine toutefois de courir. Par ailleurs, c’est le risque de l’homme qui se positionne toujours en tentation illicite et indue du protagoniste narcissique, comme concurrent arrogant par rapport à la seule présence légitimement glorieuse de Dieu. Celle centrale et  au moins systématiquement prépondérante que l’on doit par contre réserver systématiquement à Sa Trinité miséricordieuse.

Ce n’est pas la première fois que vous étés interviewé. N’avez-vous à présent plus personne encore intéressé à connaître vos opinions, jusqu’à choisir cette forme de communication tout de même bizarre ?
Oui, autrefois j’ai été interviewénon  trop souvent, il faut bien dire par la télé et la radio et par la presse de Bruxelles et même par celle italienne. Mais maintenant les médias ne s’intéressent guère à « un vieux d’autant plus pensionné qui a aussi transmis son entreprise à sa fille » www.eurologos.com  et qui, très apparemment, vit aux marges anonymes de  la société dite passive. Laquelle – comme le disait le prestigieux écrivain français Fabrice Adjadj, en présentant à Bruxelles son dernier livre (À moi la Gloire, Salvator, 2019) – n’est même plus « en active compétition de performance dans le monde ». Mais comme j’ai encore, peut-être plus qu’avant, la faiblesse de croire d’avoir quelques choses de bien valable à dire, me voici à la petite tâche. Toujours bien risquée, naturellement. Et sous les yeux de tout le possible monde averti et… vraiment intéressé.

Vous dans votre blog, n’économisez pas les critiques, souvent féroces, au pontificat de Pape François, tout en déclarant de ne pas être schismatique, ni de près ni de loin
En réalité, j’attribue à ce Pape soi-disant « révolutionnaire » et réformiste contraint, la reconnaissance essentielle de sa primauté sacrée et objective. Un catholique ne peut être qu’évolutionniste dans la continuité et non un révolutionnaire. Mais j’accuse, lorsqu’il le faut,  également que c’est justement cette intermittence relativiste en discontinuité, pratiquement systématique et alternée, à constituer la totalité de sa version – je  mesure mes mots – hétérodoxe et onusienne. Lorsqu’on abandonne ou on marginalise la christocentricité toujours globale, totale et éternelle, même pour une fraction de la Vérité mais d’une façon réitérée, on se situe radicalement dans la très classique hérésie. D’autant plus grave, qu’elle est mélangée volontairement (c’est connu !) à des déclarations et de pratiques traditionnelles, derrière lesquelles cette hérésie essaye même de se cacher. Elle, par ailleurs on le sait, est toujours un mélange de vérité e d’hétérodoxies. Bref et très synthétiquement, elle patauge dans le gnosticisme plutôt pseudo-anthropologique du modernisme philosophique aussi heideggerrien. Et dans celui même théologique néo-jésuitique rahnérien, très casuistique : j’en ai déjà parlé dans différents posts et j’en reprends ici brièvement encore l’essentiel, si vous me le permettez…

De cette façon, vous vous situez donc et en tout cas dans le schisme !
Jamais ! Le catholique, par définition, ne peut pas être schismatique. Il peut, ou mieux, il doit être critique et activement conscient vis-à-vis des positions de l’Autorité de la hiérarchie de l’Église.
En suivant scrupuleusement le devoir de défendre lui-aussi le Depositum fidei, qui appartient aussi au Salut des simples fidèles outre qu’à la tâche primordiale et impératif des papes. Lesquels coïncident avec la fondamentale finalité de sauvegarder justement le Dépôt de la foi. La position du fidèle doit devenir même très critique par rapport à ses Autorités ecclésiales, jusqu’à la soi-disant et seulement apparente rupture, quoique en conscience. Mais jamais d’une façon factuelle et réelle : son jugement doit être rigoureusement pétrinien et non simplement papal ou papiste, voire papolatrique. Il doit être ainsi le défenseur de l’unité de l’Église au-dessus et au-dessous de tout « opinionisme personnel » anti-magistériel. Et toujours amplement et rigoureusement justifié. Puisque le simple fidèle, bien que dans la continuité de la Tradition, ne doit jamais être réactionnaire ; en légitimant son droit ou devoir de juger catholiquement – en prière préalablement pénitente même avec beaucoup de rectitude évangélique et canonique. Car il sait, par sa foi humble, que l’Esprit Saint veille toujours sur le sort de Son Église Unique.
Les forces ainsi du mal ne pourront jamais prévaloir, ainsi qu’il est déjà arrivé plusieurs fois dans l’histoire du catholicisme. Cette Vérité, comme toujours, est aussi valable actuellement alors que des hétérodoxies sont pratiquées et ponctuellement dénoncées sous l’œil vigilant de la Trinité. Laquelle, dans sa sapience infinie et non trop «pénétrable », sait quoi faire en respectant systématiquement la totale liberté même humaine, ou mieux son arbitre !

Mais alors comment justifiez-vous la radicalité de vos critiques ?
Les catholiques ne sont pas obligés d’« aimer » sentimentalement leur Pape au-dessus de Jésus Christ qui est le chef de son Église et du Magistère ecclésial. Le sentiment affectif doit toujours être subordonné à la recherche et à la proclamation de la Vérité Unique incarnée vers la hiérarchie émanée par la Tradition magistérielle et historique. Et si cette affectivité humaine ne peut pas être extrinséquée, il faut s’en faire une véritable et douloureuse raison. Dans la prière et la pénitence encore plus augmentée du fidèle catholique. Peut-être jamais ces catholiques ont autant prié pour l’Unité dans la Vérité de l’Église comme actuellement. Cela doit devenir la source de l’Amour et non autre chose.

Plus papiste donc que le Pape ?
Les papes savent d’être les premiers serviteurs de Dieu. C’est Jésus, le Christ, à être le « chef » du christianisme et de l’univers. Ce Pape actuel d’ailleurs ne prétend pas sa totale infaillibilité si non dans la proclamation solennelle d’un dogme de Foi. Pape François ne l’a tout de même jamais fait. Comme, par contre et par exemple très rare dans l’histoire, Pape Pie XII en 1950 à propos du Dogme de l’Assomption de Marie au Ciel.
C’est dans ce sens que Pape François, en odore d’hétérodoxie permanente néo-jésuitique et saintgalliste, doit être prudent et toujours se comporter en « pétrinien » rigoureux et non personnalistiquement en « papal » opinionniste, dans la spécifique espèce même rahnérienne.
Lui-même sait – comme tout autre pape – que son magistère ordinaire dans la continuité (la sienne par ailleurs très loquace !) ne peut pas prétendre – ni, heureusement, il le revendique à l’infaillibilité automatique. Il se peut que l’infinie sapience divine, ainsi que la parfaite Conception de Marie, permettent librement tous ses écarts doctrinaux de Foi.
Et ceci pour mettre en évidence par contraste – qui pourrait le vraiment nier ? – au Peuple de Dieu les Vérités éternelles si souvent piétinées.

Mais alors vous n’aimez pas Pape François ?
Comme tout bon chrétien, je cherche d’aimer d’abord et surtout la Trinité. Quant aux papes, j’aime les plus rigoureux parmi eux sur le plan doctrinal, car je sais que mon affection pour eux coïncide avec leur amour pour la juste orthodoxie catholique. Plus un pape s’identifie avec  la doctrine et la défense de la Foi, et plus il m’est sympathique amoureusement. Jusqu’à ne pas l’aimer du tout,mais obligatoirement dans  une manière miséricordieuse, si hétérodoxe ! C’est du « théoros » philosophique, et du «logos » téléologique (finalistique) que vient la sympathie ou l’amour. Même chose dans les relations avec les évêques ou les curés! C’est pour cela que je me considère toujours  un ambroisien –malgré je vis à Bruxelles depuis plus de quarante ans , grâce à l’immense évêque de Milan d’il y a mille cinq cents ans (saint Ambroise de Trèves). Mais je suis également honteux que, dans ma ville de ma jeunesse, un couple de protestants ait été accueilli, dernièrement, à prêcher même dans une église catholique ! Comment ne pas cultiver des profondes objections par rapport à l’actuel archevêque lombard, toujours objectivement responsables des scélératesses dans son diocèse.  Lequel semble parcourir les chemins qui ont amené Pape François à aller « fêter » le demi-millénaire du schisme protestant en Suède !
Ou comment ignorer son exposition célébrative de la statue de Martin Luther au Vatican, le protagoniste principal du schisme de 1517 et mis à l’enfer par le Concile de Trente ?

Passons maintenant au plan politique. En vertu du Baptêmes comme collaborateur avec Dieu dans la recherche de la Vérité, quel est pour vous le problème numéro un de nos jours ?
Il s’agit de l’urgence à cause du grave retard dans le remplacement de l’absurde privation du parti laïque des catholiques. Abolition en 1994, très opportune par ailleurs, à cause de son presque intrinsèque devenu gnosticisme : la tout de même Démocratie Chrétienne italienne!

Mais ce nouveau parti laïque des catholiques vient d’être à peine fondé autonomement,  il y a même pas quatre ans, dénommé le Peuple de la Famille !
Oui, mais l’actuel Pontificat et presque toute les organisations catholiques continuent à pratiquer le choix écervelé de la « diaspore », désormais tragiquement récidive depuis un quart de siècle.
C’est-à-dire le fait de soutenir et voter les partis bourgeois existants qui sont tous, par définition,  totalement sécularisés et nihilistes, plus ou moins laïcistes et bien onusiens.  Ou carrément francs-maçons (sans trop le savoir).
« Nous allons les influencer », qu’ils continuent à répéter tous ou presque ces catholiques, appuyés ou contrastés par l’absurde choix très nette et explicite de ce Pontificat à faveur des partis de gauche et pour la ligne progressiste et totalitaire de l’Union Européenne.  La chose, malgré que ce nouveau parti soit fidèle aux principes non négociables de la Doctrine Sociale de l’Église. Aussi bien les hiérarchies du Vatican que les organisations ecclésiales continuent à ignorer ce parti dans sa phase initiale. Ils, par contre, devraient le soutenir et voter de son premier jour d’existence.

Mais ce parti que vous définissez « des catholiques », non seulement n’a même pas réussi à élire un seul parlementaire mais, aux dernières élections, il a réussi aussi presque à réduire de la moitié ses déjà très maigres suffrages !
On doit avant tout bien remarquer le principe primordial en question, élaboré par la Doctrine Sociale de l’Église (!),  qui affirme clairement « qu’en cas de manquement d’un parti laïque et catholique présent explicitement sur le marché politique [de n’importe quel Pays (nd’a)], le catholique ne doit même pas aller à voter  »! Ce nouveau parti (le PdlF), en tout cas, a réussi à être présent dans toutes les circonscriptions du territoire national de la Botte (déjà ceci est une grande performance !), avec des élus locaux. Créer un parti et le structurer électoralement nécessite, de nos jours, même de beaucoup d’années : il faut aussi réaliser l’unité politique indispensable des catholiques. Par contre, ceux-ci se sont livrés au scandale d’aller soutenir e faire voter ces partis plus ou moins nihilistes et fondamentalement tout de même étatistes ! Donc pas étonnant si le manque de succès est ponctuellement au rendez-vous dans sa phase de fondation.

Difficile que tous les catholiques se réunissent…
Il est normal, les pécheurs seront toujours là. Mais c’est le pontificat à être divisé à son intérieur…
Ainsi il faut espérer que la stérilité de la stratégie de la diaspora soit actuellement plus que manifeste dans toute sa faillite (comme prévisible et même prévu) et donc puisse donner ses fruits. Surtout après  la bureaucratique  mise en place sans élections (!) d’un gouvernement surréel très minoritaire dans le pays (l’Italie) aligné avec le désidérata gauchistes de l’actuel Union Européenne (maîtrisée par les intérêts bien partisans et ignobles de l’Allemagne et de la France).
Les catholiques, les seuls structurés historiquement avec un patrimoine sur le plan philosophique (la subsidiarité anti-étatiste) et sur le plan religieux global (le catholicisme au moins bimillénaire), se sont ainsi subordonnés à la domination des partis de l’horrible modernisme de la gnose et de la culture diversifiée actuelle onusienne.

À présent, abordons – après la globale dimension religieuse et celle politique – le thème économique. Je vous prie d’être très synthétique même si le problème est paradoxalement méconnu et très mystififié : définissez le problème central de notre ère dite aussi de la crise « économique endémique »
Il se présente un seul problème central, départagé en deux aspects symétriques qui définissent toute la pauvre économie contemporaine. Ce problème est tout simplement constitué par la véritable cause primaire de cette pénurie de l’économie occidentale : il s’agit du fait que les Pays développés sont tombés dans la dénatalité épouvantable de moins de 1,2 enfant en moyenne par couple. Et ceci depuis deux générations, de la fin des années 60 ! La crise économique est provoquée par une cinquantaine d’années où bien plus des deux milliards de non nés ont rendu les marchés occidentaux sous-dimensionnés, donc  tragiquement appauvris. Malgré la surconsommation se soit développée d’une façon monstrueuse (évidemment non par hasard, selon un plan antifamilial général, encore en pleine action), les marchés de la demande sont insuffisants et les productions ont dû se conformer à la baisse : fermetures d’entreprises innombrables et licenciements par dizaines de millions, surtout dans les dix  dernières années en Europe. La raison de cette dénatalité est ainsi devenue même apparemment irréversible à cause de sa nature écervelée et toujours permanente : il s’agit du désir d’un hédonisme massifié poursuivi même à crédit : d’où le débit public ! Donc produisant avec ses coûts d’intérêts gigantesques  aussi l’illusion de son but primordial qui est en train d’engendrer ce qu’on a commencé à définir la « clochardisation » des masses dites erronément « opulentes ».
Mais en réalité réduites à leur survie démente. Ce problème primaire, dû au nihilisme matérialiste et gnostique a été doublé, toujours dans le même demi-siècle, par le phénomène de l’étatisme.  Dont la racine est toujours la prévalence usurpée de l’État sur Dieu. À savoir, la conséquente diminution des naissances, dramatiquement aussi morale. Des naissances qui engendrent la logique croissance monstrueuse de l’interventionnisme des États étatistes, par ailleurs rendus très impuissants, il va de soi, sur le plan économique massacré par la même dénatalité.

Ma quoi peut-il mettre en rapport et avoir à faire l’étatisme avec la dénatalité ?
Une autant coûteuse augmentation bureaucratique dans une société devenue anti-libérale et souvent totalitaire. Laquelle, fatalement, ne fait qu’aggraver encore davantage le même mécanisme vicieux nihiliste. Ces deux phénomènes apparemment opposés et toujours   la dénatalité et l’étatisme sont les deux problèmes les plus graves et non seulement économiques de notre ère et, paradoxalement, dont on ne parle jamais beaucoup ou presque, en relation de la crise économique. Et ils ont l’air de ne pas être pris même pas en considération. En préférant attribuer les deux conséquentes convergences à la dernière catastrophe (endémique) en cours ou à l’avant-pénultième quiconque, malgré les récurrentes mini-récessions. O bien à des fausses causes, marginale et même souvent insignifiantes. Et enfin, l’étatisme est induit même par les structurales faiblesses qu’ils essayent ainsi de compenser leur inanité.

Mais, justement, monsieur Troiano, on en parle pas trop car tout le monde sait qu’il faut être néo-malthusiens : on vit dans une planète surpeuplée…
Celle-ci est l’océanique mystification falsificatrice qui dure depuis plus de deux siècles, selon laquelle « la Terre ne peut nourrir – comme déjà disait le rationaliste antiscientifique anglais Malthus  le milliard d’habitants » de son époque (au début du dix-neuvième siècle) . Par contre, on est arrivé en 2015 à produire le double et demi de nourriture pour toute l’humanité (indépendamment des guerres, disettes climatiques, insuffisances dans la distribution et tous les gâchis gigantesques).
Mais, entre-temps de surcroît, les habitants de la planète ont augmenté en nombre de plus de sept fois !
Et on ne peut même pas imaginer combien de milliards de personnes notre univers encore presque  vide d’humains, peut arriver à nourrir. Tout le monde, en effet, est pratiquement « obligé » de vivre sous le conformisme culturel anti-scientifique le plus obscurantiste des « vérités » contrefaites par la manipulation du pouvoir international. À justification des idéologies incroyablement les plus évidemment fausses. Comment prétendre, alors de sortir de la crise, non seulement économique, si on continue à être esclaves de ces types de défigurations gnostiques ?

Alors, veuillez conclure avec trois petites phrases relatives aux trois dimensions que nous venons de constater : celle globale et religieuse nihiliste ; celle politique avec son problème numéro un (du parti laïque catholique, même très minoritaire) ; et enfin celle économique concernant la cause de la pénurie de la demande des marchés : la dénatalité
En réalité, je viens de publier un post de vingt-quatre chapitres sur les questions qui essayent de bien expliquer toute la chose. Ces trois points ici conclusifs pourraient être les suivants.
1 – Il faut, avant tout, en finir avec la soi-disant « Mort de Dieu et du catholicisme » dans une époque jamais si persécutée : avec le retour rapide à l’amour de la recherche de la Vérité éternelle (qui, contrairement à l’opinion publique majoritaire, existe et elle est unique !) moyennant la prière dans la vraie Église. En se reliant avec la sapience de la créaturalité réelle et naturelle de l’homme religieux et anti-hédoniste.
2 – Sur le plan politique, il faut que chaque Pays remette à l’ordre du jour la création et la structuration efficace, donc unitaire, du parti laïque des catholiques. Lequel pourrait être suivi aussi par les hommes ne croyant que dans la rationalité (la Raison sans la Foi de sa laïcité contre l’horrible laïcisme).
3 – Il est nécessaire doubler abondamment l’actuel taux de natalité moyenne, au moins pour récupérer rapidement les résultats récessifs désastreux des déjà deux générations folles de dénatalistes pseudo-hédonistes imaginaires. Et attendre une vingtaine d’années laborieuses et nécessairement frugales pour permettre l’éducation des enfants ainsi nés. Pour qu’ils puissent devenir eux-mêmes des véritables producteurs et consommateurs économiques dans le Salut global.

Simplisme naïf tout cela ? En effet. Mais il faudra bien se convaincre que la vie n’est pas, finalement, plus  compliquée que cela. La levure sait faire toujours et silencieusement le miracle de l’abondance.
Prions !     

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