L’ontologique Vérité unique et divine est ainsi bafouée à la place d’être toujours affirmée, contre sa caricature chauvine et rationaliste (jamais rationnelle !) : plutôt que la destiner à toujours prévaloir avec son paradoxal et indispensable « dogme de Foi ». Ma thèse !
Le rationalisme est le méfait le plus grave de la modernité : ne fût-ce que pour le très simple et évident manque de logique formelle. Et, par habitude publique absurde comme mensonge manipulatif de la réalité, jusqu’à s’en convaincre à l’enseigne du vrai. Plutôt que la constater ! Surtout avec les médias asservis activement au pouvoir : toute la philosophie, stérilement irrationnelle ou rationaliste, continue ainsi à inventer fallacieusement la réalité.
La falsification de la Vérité a ainsi bypassé même l’évidence du Créateur, dans sa Création même déniée au travers de l’artifice de l’odeur nauséabond, du techniciste et incertain phonétique recours au « Bing-bang ». Sans jamais effleurer son existence – insistent-ils toujours acrobatiquement – encore demeurée sans complète réponse de son instant immédiatement précédent… « L’existence de l’univers a été toujours effective » – affirment-ils ces modernes enfants des Lumières. Donc il serait même superflu de se poser le problème du soi-disant Créateur comme cause de l’effet du monde… « Que l’on s’occupe bien scientifiquement des premiers instants dits par les prêtres ’créationnistes’ – afin de tromper facilement tout le monde » –, avec l’opium surnaturel. En effet l’univers a toujours existé » – ou bien, sauf dans l’encore confus Bing-bang, paraît-il et répètent-ils d’une façon réitérée et hautaine les légions de gnostiques et de scientistes actuels. « Sans que l’on perde du temps dans des abstractions oisives, propres aux pensées intellectivement vicieuses et métaphysiques religieuses ».
Ma thèse générale, par contre dans ce post, en tous ses treize petits chapitres, surgit de mes balades, actuellement impératives, entre faits, interprétations et mystifications propres des événements historiques déjà classés dans la mémoire généralement massifiée. Du reste, comment être diligemment systématiques, à défaut de génie, dans le chaos conceptuel, philosophique e théologico-doctrinal de la pratique politicienne, si infondée d’aujourd’hui ?
Le chaos construit à partir de deux perpétuelles et stratégiques visions finalistes de l’existence (eschatologiques, nous pourrions dire, pour utiliser son classique adjectif), qui depuis toujours a surclassé l’humain. L’une salvifique et religieuse mais réduite à presque rien !) et l’autre nihiliste et immanentiste.
Les mêmes qui ont divisé l’histoire dans le passé. Partout dans une guerre, apparemment multiple et bien diverse dans sa particularité. Maintenant comptabilisée aussi par des attentifs géopolitiques statisticiens en un nombre d’une cinquantaine ! Parmi des grands ou petits conflits, très proches ou lointains et même méconnus. Mais tous liés, aussi intuitivement, au point à être pratiquement perçus proches à une déflagration plus que possible dans le nucléaire. Et jamais si proche d’une façon immédiate. Même celle, en apparence seulement sur le plan culturel, comme l’avortement. Toutes dénotant le tragique sceau de l’irréductibilité… Mais le cœur de ma réflexion ne peut que souvent s’arrêter spécialement autour de l’inconscience, au même temps tragique et totale, de l’incapacité politique de résoudre la question beaucoup plus profonde – et plus simple ! – de tous les facteurs constatables même parmi les plus prodigieux de l’humain. La contradiction en question est constituée ainsi par l’infériorité incommensurable de savoir réfléchir désormais généralement et sur le plan intellectif, non seulement opérationnel mais aussi analytique et cognitif sur le problème aigu inévitablement transcendant. Tout indique, en effet, qu’on est arrivé au point absolument incompris de croire la politique uniquement comme simple instrument : qui ne réussit plus à résoudre totalement et vraiment presque rien. C’est-à-dire que sans ses principes supérieurs, non disponibles à son intérieur, rien ne peut permettre d’être plus fonctionnel. Toute l’humanité semble ainsi aveuglée dans cette profonde condition de ne plus « religare » (comme disaiente les Latins), relier bien unie la réalité complète, dans le but de la rendre même simplement intelligible dans tout son contexte. Preuve en est la simple dénaturation du mirage irréligieux avec lequel on peut toujours croire de se suffire avec les deux banales idéologies exclusives de référence : pour la très grande majorité des humains, afin d’en résoudre les problèmes publics générés par le « social-communisme » (à gauche) et par le « libéralisme démocratique » (à droite). Crus fermement comme solution à la panacée du Tout. Du reste, avec le même réductivisme déjà les zélotes évangeliques avaient aussi trahi Jésus !
Et ceci également pour résoudre le chaos actuel du monde ! En effet, il n’existe aucune institution et aucun parti politique, dotés de la conscience aussi minimale de pouvoir faire face à la nature des problèmes posés : par l’avoir exclus le Dieu trinitaire de la dimension et compétition publique sur pratiquement toute la Terre. Je continue à y réfléchir, mais l’avoir décidé, il y a plus de deux ans, de ne plus aller à voter avec motivations explicités, il parait qu’il puisse résister encore, en occasion des votations nombreuses de cette année-ci. J’en reparlerai en détail, très prochainement.
La fatale logique de l’échue finalité de l’OTAN, après la fin de la guerre froide, remise encor plus à l’offensive plutôt que fermer sa boutique, oblige actuellement à toujours faire mentir les médias asservis. Et à totaliser la vie de l’Occident toujours plus dictatorial
Les Français en sont généralement, dans cette performance d’imposture, certainement les champions mondiaux pour le moment indépassables. Déjà depuis le siècle dix-huitième de Voltaire, alors emblématiquement brillantissime sur le plan de la communication dite littéraire et même idéologique. Mais aujourd’hui jugé faux et immoral (surtout personnellement, de la part de l’écrivaine française Marion Sigaut). Les néo-gnostiques francophones sont beaucoup plus radicaux des mêmes actuels américains dits « démocratiques », donc de gauche. Qui sont idéologiquement au moins souvent théistes, si bien généralement panthéistes et toujours, par conséquent, immanentistes. Même publiquement aussi chrétiens-protestants et en modalité hérétique ultra moderniste. Le presidnt actuel, Biden, se déclare même catholique !
Mais il faut donc un certain autisme très hexagonal, comme il en est doué en particulier leur président Macron, pour célébrer la légalisation solennelle de l’avortement, c’est-à-dire aussi du carnage des innocents actuel et moderne, décrit dans les Évangiles, pour des raisons différentes, mais substantiels et identiques. L’actuel soi-disant grand pas dit toujours « révolutionnaire », est non seulement par la loi ordinaire, ma aussi « solennellement » en inscrivant la permission de l’avortement dans la Constitution française ! La même démence rationaliste avec laquelle on parvient à essayer de provoquer la guerre nucléaire, pour le moment tout de même à des seules paroles politiciennes. Mais ceci suffit pour inventer et fonder au moins la confiance même à… Putine. Tout de même converti sur le plan public au christianisme : dans celui privé et public, non vraiment indispensable pour une évaluation d’un homme politique, il vaut mieux peut-être ne pas se prononcer, afin de formuler un jugement pour une majeure sapience et sagesse au moins modérée relativement à l’usage possible de la bombe nucléaire ! La guerre mondiale autodestructrice contre la Russie, en avançant l’idée suivant laquelle l’envoi de soldats occidentaux (et français) sur le terrain du combat, inévitablement produirait la… fin au moins de l’humanité (même si non de l’univers entier) ! L’affirmation du soi-disant « droit à la défense », sans reconnaissance des toujours préliminaires et correspondants « devoirs », comme il est d’usage partout et généralement sans aucune logique, amène évidemment à la destruction apocalyptique de toute la Terre.
Mais qui serait encore prêt de nos jours à partir vraiment – en Europe ainsi que déjà en Amérique anglophone – en guerre, si non des rares « guerriers » idéologiquement mercenaires et non moins que… pathologiques ? Sainte Térèse de Calcutta l’avait ponctuellement déjà prophétisé à l’ONU, dans son fameux discours contre l’avortement !
Le même destin est déjà maintenant en cous de réalisation pour l’euthanasie humaine…
Parmi la cinquantaine de guerres à responsabilité plutôt occidentale, celle ukrainienne a renversé irréligieusement, dans sa narration, ses tragiques responsabilités meurtrières
Il suffirait regarder – à la manière que je le fais depuis 47 ans en famille, avec double nationalité italo-belge – pour se rendre compte du niveau de rationalisme pervers et irresponsable des, on dirait, éternels supporters nucléarisés français (assez militairement flaibards, par ailleurs) et culturellement rationalistes : tellement devenus désormais complètement idéologistes et apparemment incorrigibles. D’ailleurs les Occidentaux alliés ne sont pas moins hypocrites dans l’envoi d’armes plus ou moins obsolètes (avec jubilation des Américains, prêts depuis très longtemps à en vendre, comme minimum, de nouvelles…).
On a aussi une image du niveau de la démence généralisée en plein cours, si on observe l’antagonisme des dévastations des guerres sur le fond apocalyptique avec la serré, même emblématique, des mains de la part du président USA Bush-junior à celle de Putine, en Italie, en 2002. Sous les jeux souriants et illusoirement satisfaits de Berlusconi… Dans un Occident et avec une OTAN qui, actuellement, ne savent même pas reconnaitre, en compagnie de l’Ukraine et publiquement en officiel, d’avoir perdu carrément la guerre folle en Ukraine déjà bien à la veille des élections aussi américaines, physiquement, économiquement et désormais aussi moralement. Chose évidente déjà au tout début de l’aventure, étant donné la propagande massifiée de tous les médias mondialement mystifiés du mainstream et bien abrutis occidentaux. Surtout avec une guerre qui, à l’enseigne habituelle dernière, ne se déroule nullement, comme d’habitude, dans la patrie du promoteur américain et avec des coûts au minimum tandis que ses profits, calculés indûment politiques et économiques, sont au maximum (mais honteusement perdants). Le tout en ayant complètement « oublié » que la soi-disant invasion en Ukraine n’avait pas commencé en février 2022 de la part des Russes, mais déjà militairement financé et organisé, jusqu’à pas moins de déjà 14.000 morts (!), depuis 2014, avec le coup d’Etat, pour commencer, de place Maidan, avec l’aide essentiel économique et organisationnel de la part des USA et de l’Otan !
Non sans encore une hécatombe de victimes parmi les milliers de russophones ukrainiens, surtout de l’est du Pays. Et relativement très peu, par rapport à l’actuel, de nationaux Ukrainiens, aujourd’hui… occidentaux. Comme l’on sait que les masses négligent ou oublient facilement, il ne faut pas oublier que le gouvernement en Ukraine, alors à peine élu, comme d’habitude et probablement « très peu démocratiquement », dans les Pays ex-communistes (encore trop à la faveur, il va de soi à l’époque, de la Russie !), fut liquidé immédiatement sans trop de compliments. À la fureur du peuple séditieusement « insurgé ». Le putsch révolutionnaire, évidemment se concrétisait soutenu et structuré sur le champ par les Pays occidentaux avec l’énième massacre (jamais communiqué, ou souvent minimisé), après plus de huit ans dans les zones également et surtout spécialement de frontière. Les chroniques télévisuelles occidentales de l’époque parlaient de forces « insurrectionnelles » nationalistes de nature et origine… nazie.
Qui gagne la guerre ? Déjà depuis la veille de son début on pouvait s’accorder entre Ukraine et Russie, en faisant acquérir aux ex-soviétiques, rejetés par l’Occident, les territoires massacrés russophones de toute la frontière à l’est, tout près de Moscou
Aux choses dites, on doit aussi ajouter le certain et jamais pardonnable ultérieure trahison (!) de la part des Pays occidentaux qui venaient de signer l’équitable accord de Minsk avec les Russes. Dans lesquels il était fixé que l’OTAN n’aurait pas englobé dans ses rangs les ex-nations du Block de Varsovie. Dans le but, évidemment, de créer un sacrosaint coussin de zone neutre aux frontières avec le nouveau Etat russe ex-communiste, bien repoussé, finalement très curieusement, du G7 et 20 dans les bras très étrangères de la… Chine : et du BRICS !
La chancelière allemande Merkel avait aussi admis publiquement et criminellement, avec fausse naïveté (!), que les Occidentaux avaient signé l’accord en Biélorussie dans le « le seul but de prendre du temps et commencer à s’armer » (sic, littéralement !)... Et ceci pendant que l’OTAN était en train déjà d’acquérir les premières treize nations, comme nouveaux membres et candidats ex-communistes, tragiquement très prêts de la Russie, où des bases des puissants missiles occidentaux venaient installés… Il restait à « régler », en effet, seulement la vaste Ukraine confinant… Les États-Unis et l’OTAN y étaient déjà bien à l’œuvre !
Des amis à moi de Communion et Libération – restés tels après ma séparation en 2007-08 de l’organisation ecclésiale internationale, déjà psycho-moderniste sans freines – après la mort du fondateur père Giussani, m’avaient adressé la question relative à qui aurait gagné la guerre en Ukraine. Tout le monde à l’époque, déjà se le demandait. Ma réponse, sans aucune hésitation, fut naturellement : la Russie. Aussi bien pour des raisons de puissance militaire que de justice socio-historique. La chose encore aujourd’hui n’est pas admise par les politiciens au pouvoir en occident, dans les Pays OTAN et en Europe avec l’UE gouvernée par la gauche (devenue aussi philo-américaine entre-temps !). Et pour ne perdre la face dans l’année des élections… La folie, donc, malgré la destruction du Pays et des régions russophones déjà reconquises par Moscou, dévastées par la violence inouïe de la guerre moderne depuis au moins une décennie. Aussi de l’abolition de tous les huit partis d’opposition (!) et avec des privations imposées inouïes également des pensions par exemple de soutien alimentaire, de la part des putchistes pro-occidentaux au pouvoir ! Sans compter le très proche manque progressif et devenu très impopulaire de fonds en tout l’Occident en crise économique, à cause de son habituel colossal et désormais devenus atavique endettement publique (et à son gigantisme technocratique étatiste !). Tout à la charge de ses propres enfants et désormais neveux : c’est-à-dire que les Etats dits « libéraux » ont vécu à crédit pour au moins un demi-siècle afin d’alimenter son modèle d’État perversement bureaucratique et pléonastique de type clientélaire dit démocratico-tyrannique. Ayant créé une nouvelle classe sociale d’oligarchies dominatrices car créditeurs toujours faméliques d’intérêts de la dette publique, à la limite de l’usure e des règles de commandement de colossal chantage totalitaire… Outre que pour l’indisponibilité des couches populaires des classes moyennes d’aller au combat et mourir pour des ambitions de puissance idéologique dictatoriales sur la Terre ! L’argumentation, en surcroit scandaleux, a été ensuite l’ingérence avec les interventions de la part de l’alors vice-président « démocratique » Biden et de sa famille personnelle, dans les au moins louches affaires ukrainiens de grande corruption. Avec aussi l’interventionnisme politicien et militaire inouï, même économico-financier, qui sera prochainement jugé dans les États-Unis.
L’avoir abusivement et athéistiquement attribué à la politique la faculté de disposer, à son intérieur, du principe fondant sa soutenabilité véritative, a généré l’idée monstrueusement erronée que le relativisme anthropologique soit l’unique valide au monde…
La raison a été et toujours reste celle pour laquelle l’Occident est obnubilé dans une position même anti-démocratique et hypocrite agressive. Tout de même aussi sans trop le savoir et avec le bémol non seulement « républicain » américain, réactif désormais assez de dimension mondiale. En surplus, ce déclin et ce chaos apparemment irréparables, projetés par induction par les États-Unis, surtout dans l’Union Européenne, sont d’origine théorétique, religieuse et doctrinale. Tous ces trois facteurs de fonds sont dépendants de la soi-disant crise aussi séculaire et originaire dite religieuse et, surtout, même de l’Église catholique.
En réalité et à la rigueur, la crise n’est pas vraiment de l’Église éternelle. Sa doctrine n’est nullement en crise : sa Vérité, Révélée par Christ avec son Incarnation jusqu’à sa Résurrection y compris l’histoire de l’Église dans la Tradition Mystique, ne peuvent que reconnaître sa Fidélité globale. Le problème est donc qu’aujourd’hui, comme surtout depuis au moins le Concile Vatican II, se soit formée toujours plus comme majorité de Catholiques. Une majorité qui s’est pliée à l’idéologie dominant dans le monde, appelée « modernisme » anthropocentrique et, de plus en plus, anthropolâtrique, dite pastorale. Et définie d’une façon accomplie déjà depuis Pie X, bien plus d’il y a un siècle. Elle était ainsi déjà arrivée, avec le Pontificat actuel de Pape François, qui en a confirmé avec clameur, peut-être aussi involontaire, avec un clergé plutôt acquiescent à ses principes dits saintgallistes et fondamentalement immanentistes. Car ce Pontificat est à la recherche constante du consensus du monde et de son idéologie principalement politicienne, en modalité anthropologique, car objectivement rahnérienne.
Et souvent fondée sur le manque aussi de contrition : celle dite diaboliquement depuis le théologien hérétique allemand, naturellement néo-jésuite, Karl Rahner, idéateur satanique du « Christianisme anonyme » ! Ceci pendant qu’il avait suspendu aussi la célébration de sa sainte Messe, en contemporain à sa convivence (more uxorio) jamais condamnée et sanctionnée avec son amante… Ainsi, sa soi-disant théologie compliquée et plutôt incompréhensible, est celle en réalité horizontale, « utilement théiste » et liturgiquement protestantisant, c’est-à-dire en tendance dans un procès en sacrilège, propre du « devenir » toujours plus avancé d’objectivisation du soi-disant Salut dans la praxis : selon une vision de la Doctrine toute à adapter aux prétendues ou escomptées « faiblesses » comportementales humaines dites « infinies et toujours déjà divines » !
Tandis qu’elles, ainsi formulées, ne peuvent qu’appartenir au Dieu trinitaire, en tout cas par son toujours actuel ostracisme, sans possibilité de Rédemption !
Toutes tendances, celles-ci – ainsi que le disait d’une façon déjà rigoureuse Pape saint Pie X – et qui constituaient déjà l’agenda de la « Reforme » de l’Église catholique tridentine, d’il y a cinq siècles. Laquelle, selon les modernistes, a impérativement à « s’ajourner » à son model qui jaillie du bas et non du haut, C’est-à-dire, qui fonctionne selon son expérimentation évidemment autant jaillie du principe « démocratique » : complètement étranger intrinsèquement à l’essence de l’Eglise catholique qui est celle de la sanctification divine et royale de Dieu. À vrai dire, même selon les vices et non les Vertus théologales, toujours enseignées par Mater Magistra, celle de la Tradition Mystique.
Comme dans la déviation des comportements et des philosophies inventées seulement avec des critères humaines à partir de la Renaissance, même l’Église de Pape François est en train de terminer de se structurer dans une Doctrine qui n’enseigne plus d’une façon pétrinienne la Vérité de la Liberté. Mais une Église qui devient élève et non maître (tout au moins aussi apparemment) par rapport au monde. La parole de Dieu, de son Logos chrétien, n’est plus la référence créatrice mais elle est l’expérience non ontologique subordonnée avec laquelle l’homme vit son rapport avec le soi-disant transcendant. Donc un véritable renversement. Dans un seul mot, une « révolution », tirée de son étymologie laïque et fatalement laïciste. Dans une modalité qui a marginalisé tellement la puissance salvifique de la Trinité dans sa nouvelle « religiosité » très protestantisée, jusqu’à l’éliminer totalement. Laquelle est jaillie par contre toujours de la simple spiritualité fondamentalement thomiste et justement surnaturelle dans sa Doctrine, qui par contre est actuellement conçue par des théologies immanentistes hérétiques.
La détermination à exclure de la dimension politique, c’est-à-dire l’éternelle Vérité du « Tu ne tueras pas » testamentaire, est parvenue évidemment au grand galop de retour, à l’horreur du délit inhumainement fixé et hypostatisé au grade maxime : l’avortement !
Même lorsque une certaine « religiosité laïque » n’est pas déniée ou marginalisée dans l’immanquable relativisme, sont les nouvelles lois de l’existence sans critique, conçues, selon critères plutôt anthropocentriques et non christocentriques, qui doivent confirmer la Doctrine ecclésiale et la culture du monde… Pour le dire avec l’évêque émérite historique giussanien, Luigi Negri, c’est-à-dire la plus haute expression historique d’une religiosité rigoureuse (même si relativement à certains anciens côtés pédagogiques critiquables de son maître aujourd’hui en voie de canonisation monseigneur Giussani) : depuis qu’il était même adolescent et son élève au lycée. « Une Foi sans culture est ridicule », il a déclaré dans une de ses dernières catéchèses ! Le cœur de la Foi catholique est situé ainsi dans son rapport avec la verticalité qui est vue sur la Croix, au croisement de son bras vertical avec l’horizontal. Mais en ayant clair que soit en tout cas et toujours le vertical à subordonne l’horizontalité !
Par exemple, actuellement on a l’étatisme qui, au contraire, exclue le Dieu trinitaire et l’ostracise de la dimension dite politique et de la vie sociale. Celle qui porte avec soi l’indifférentisme, le matérialisme et l’hédonisme clochard, aussi dominé par le plaisir illicite. Tandis que la plénitude existentielle à partir de sa verticalité peut seulement être dépendant de la sanctification pleine, chrétienne et vraiment catholique. Où la Foi doit inspirer et bien dicter la Vérité permanente de la Beauté. La dynamique opposée d’un tel choix salvifique ne peut porter qu’à une dimension dite laïque et aussi pratiquement laïciste, post-humaine et antihumaine. La vocation finaliste de l’homme, en effet, ne peut qu’être divine, car sa nature est « à l’image de Dieu » : dont la synthèse peut seulement se matérialiser dans une sainteté spirituellement supérieure. Ceci signifie « culture catholique » !
Du reste et comme toujours, c’est la simple Révélation évangélique dans sa mission sanctifiante de son Église pétrinienne et romane, qui peut soutenir le plan salvifique individuel et social. Cela dépend de la Royauté de Christ dans le monde et dans la pratique continue des Sacrements contre le diabolique étatisme, qui doit être réduit vraiment au minimum essentiel : juste nettement au-dessus de ce qu’on appelle l’anarchisme. Que peut uniquement descendre d’une verticalité pédagogiquement descendante. Et non vice-versa !
C’est seulement la Véritable religion catholique et pétrinienne, à permettre l’autonomie rationnelle de la Raison aussi politique : celle qui s’est volontairement subordonnée aux lois du Dieu vivant : qui intrinsèquement la contient et toutes les rend vraies
Il est le philosophe Stefano Fontana, directeur de l’Observatoire de la Doctrine Sociale cardinal Van Thuân, à reproposer et approfondir seulement le principe suprême thomiste, en l’illustrant amplement : de l’autonomie et de la dépendance de la Raison en rapport subordonné et indivisible avec la Foi éternelle. En parfaite relation correspondante entre la toujours limitée humainement liberté avec l’autrement Mystère de la Foi systématiquement émanée et Révélée par la Trinité. Ainsi, notre plus grand théologien Fontana, pour être contemporain, a remis à jour la notion inséparable entre raisonnable et croyance divine. Et, surtout, il en a énucléé à nouveau son fonctionnement avec admirable simplicité : celle même jaillie déjà d’un père Cornelio Fabro ou d’un Étienne Gilson du siècle dernier… Où l’autonomie exclusive de la Raison, de la recherche intellective, est rendue libre seulement de sa prioritaire acceptation des subordinations à la Foi : c’est-à-dire à la Doctrine ! Tout autre chemin comporte, l’hérésie et la séparation d’Apostasie, comme le fait le modernisme avec l’accueil de la soi-disant philosophie moderne, seulement humaniste de ladite Renaissance anthropologique.
Elle a cultivé ainsi l’illusion, de la part de ses auteurs, inventeurs et reproducteurs de la pensée irrationnelle de Descartes qui avait fallacieusement attribué, même méthodologiquement, ladite Vérité à l’existence de sa… pensée seulement subjective et immanente. Avec le « Cogito ergo sum » (Je pense donc je suis), toute la philosophie dite moderne s’est enchaînée tragiquement à ce faux principe qui a toujours fait marquer l’arrêt à l’avancement dans la recherche essentielle de la vérité factuelle de la pensée. Jusqu’au doute, à peine avant de mourir au début des années 70 du siècle dernier, du plus grand philosophe moderniste très contesté et jamais davantage célébré même comme « athée-catholique », encore actuellement discuté, Martin Heidegger.
L’Autorité suprême du Pape catholique comme royauté perpétuelle sur l’univers. Et dans le monde de la Création de la part du Dieu trinitaire dans l’ordre stupéfiant du divin Salut
L’Église catholique a ainsi réellement presque toute pataugé, très marginalement où en plein contre depuis le monstrueux accord conclu avec l’Union Soviétique. À la veille du Concile Vatican II, par le biais des ecclésiastiques orthodoxes russes et du cardinal russophone français Tisserant, à Metz en 1969. Jusqu’à englober l’enseignement philosophiquement innaturel et dit « moderne », même dans les séminaires. Au lieu de continuer à utiliser la philosophie et la théologie suprêmes de saint Thomas d’Aquin ! Celle qui avait assimilé, en l’éclairant complétement dans le Christianisme romain, la philosophie préchrétienne seulement rationnelle du relativement suprême, jusqu’au Christianisme, d’Aristote…
En ouvrant peut-être ainsi les portes à la philosophie exclusivement anthropologique mais en la subordonnant, avec sapience et clairement, à sa Vérité éternelle. Même si ses auteurs anthropocentriques de la suivante époque à nous contemporaines continuaient à se définir chrétiens pratiquants, même catholiques (on ne sait pas pour combien de temps encore) !
Il ne serait pas compréhensible l’explication de la rébellion publique massive qui dure depuis plus de soixant’ans (durant et après le Concile Vatican II), des cardinaux, par exemple,le bruxellois Suenens et le flamand Danneels son successeur : à la tête d’une importante minorité « révolutionnaire », l’encyclique de 1968 claire et très rigoureuse « Humanae vitae », de Pape saint Paul VI. Celle-ci avait été contestée et sacrilégement non acceptée (généralement même actuellement)…
Tout de même relativement à l’utilisation des principes exclusivement de la philosophie humaniste dans la théologie et dans la Doctrine catholique, ainsi violée aussi en Italie, outre que diaboliquement dans le monde entier, à partir de la même Église catholique.
Il suffirait de penser à quel était la nature aussi quantitative du manque désormais d’Autorité et de l’ignoble troque, en plus asymétrique, de Metz. Celui-ci consistait – de la part de l’État-guide mondial communiste à la veille, si on peut dire, de son auto-faillite déclarée universelle en 1989 – de faire participer à Rome avec un… permis jugé « spécial », quelques ecclésiastiques de la religion orthodoxes, comme observateur au Concile. Mais avec en échange l’obligation d’assurer de sa part, en tant qu’Église catholique, le silence total et honteux, sur la Doctrine gnostique, expressément anti-chrétienne et marxiste de l’époque. Aujourd’hui tout de même et malgré tout, tranquillement la plus largement majoritaire dans le monde !
En quoi consiste l’actuelle Apostasie ecclésiale, surtout hiérarchique et maximale ? Rien de nouveau sauf ce qui était affirmé depuis l’époque humaniste. Et de ce qui était décrit superbement dans la « Pascendi » de 1907, du Pape saint Pie X sur le modernisme
Le but principal et spécifique de chaque Pape est de garantir, toujours et intrinsèquement à sa fonction et au-dessus de chaque autre chose, la fidélité à la Vérité totale de la Foi salvifique catholique. Et de son dépôt de Foi cumulé par son héritage pétrinien dans la Tradition : celle qui justifie l’appellatif continu de « Mater et Magistra ». La chose en fait toute son originalité et son unicité véritative par rapport aussi aux autres religions, plus ou moins toutes considérables fausses. Il est seulement la Vérité éternelle du « Non possumus » (Nous ne pouvons pas), avec l’immanquable pluriel majestatifs en latin papal, à obliger la première et finalement unique, outre qu’essentielle raison qui enchaîne tout Pontife à son indispensable fonction divine, comme Vicaire de Christ sur la Terre. Même si opposable à la sacrosainte obéissance qu’on lui devrait toujours. Mais également lui dénier, s’il dérogeait de ce commandement premier, bien entendu infaillible, si prononcé solennellement « Ex cathedra » ! Même lorsque le Pape se trompe (il est bien possible), mais son Église mystique va, presque toujours très vite, le rattraper… doctrinalement par rapport à la divine Révélation.
C’est aussi la Raison pour laquelle jamais un Pape peut démissionner, une fois qu’il a accepté l’élection dans son Conclave. Aucune raison peut être interposée à sa permanence, jusqu’à même son possible Martyre personnel, mis en acte de la part de ses plus mortels ennemis. Voici la raison de la vanité (ou de l’astuce) de toutes les discussions sur la validité plus ou moins légitime des démissions du tout de même grandissime Pape Benoît XVI, soi-disant « émérite ». La Foi est toujours dogmatique, une et éternelle : même si soumise à la Liberté divine attribuée aussi à l’homme, dès sa propre Création de la part de Dieu.
Autrement, c’est le relativisme absurde, ou bien c’est le non-sens du totalitarisme du soi-disant Dieu-créateur sans Incarnation et san créativité permanente (!), y compris la Révélation évangélique. Comme par exemple l’Allah des musulmans.
Et de l’homme élu vraiment Libre comme « coopérateur de Dieu » dans la vraiment libre soumission (ou pas) à la Vérité ontologique de son éternelle conception dans la fidélité. À elle et in elle tout de même Souveraine. L’absolu, donc, comme catégorie indispensable dans la Vie de Grâce infiniment digne et également limitée dans la vie aussi quotidienne. Et soumise au Péché originel. Mais seulement d’une façon partielle, grâce aux Sacrements !
L’idéologie néo-gnostique du cosmos sans presque Dieu, dans la philosophie moderniste de la soi-disant Renaissance. Même dans le Catholicisme apparemment perçu contaminé
Tout le reste est ainsi sous l’aile protectrice et mystérieuse intrinsèquement du Dieu trinitaire : « les forces du mal ne prévaudront pas » ! Que l’on se figure alors dans l’hypothèse à cause seulement d’une toujours et à priori mineure idéologie mondaine. Propre du soi-disant « devenir » incertain du modernisme philosophique, dit issu de la praxie « expérimentale ».
Ainsi, voici l’immanentisme du modernisme, l’idole du temps : à la place du Catholicisme pétrinien et absolu, qu’il serait toujours à modifier et « mettre à jour » pour les hérétiques! Où le Pape en est (mieux « il en devrait ») l’unique gardien pérenne et solennel dans l’immuable. Malgré le chaos politique et dans la finitude de l’existant, à l’intérieur de la fragile réalité de l’« opinionisme » et dans la multiplicité erronée des principes fondateurs. L’incomparable et existentiellement incommensurabilité de l’Absolu, ne peut que surgir et resurgir dans la continuité du Temps… C’est le pourquoi les nouveaux philosophes gnostiques et matérialistes à partir de la Renaissance restaient Chrétiens ou protestants, tout de même sur le plan volontairement personnel (si bien contradictoire) !
Le problème du modernisme aujourd’hui prédominant est cependant le fait que non seulement l’athéisme patauge heureux, sans être dérangé et superposé au Tout, mais l’indifférentisme, aspirant jusqu’à l’asphyxie, devient « métaphysique » et masochiste, et outre.
Où cet « outre » est matérialisé désormais par l’évidente folie aussi psychiatrique et endémique, à partir non seulement de nos gouvernants. Elle provient de la même déviation théorétique en à mont, de la prétention arrogante autant que de « la rébellion des actuelles masses massifiées ». Qui sont en train de détruire, aussi désormais non par hasard, la très fragilisée Famille comme institution naturelle. Avant même de mettre en jeu l’autodestruction totale et impossiblement cosmique, surtout française et également idéologique. Du reste les Pays comme la Grande Bretagne ne semblent pas être moins masochistes, avec presque la moitié de toute l’Amérique…
Que l’on pense à la perdition de la politique mondiale actuelle, complétement finie dans le chaos produit par la confusion, de surcroît réductionniste au degré maximum de conscience. Propre de la primauté à attribuer sur le plan historique. Le fait déjà démontré méticuleusement, est qu’en tant qu’à nombre global de victimes, leurs incroyables « performances » pratiquement équivalentes, ont dépassé largement le demi-milliard de morts (!), épouvantablement terrifiant, dans le petit laps de temps même inférieur à un siècle.
La véritable question intellective principale humaine n’est pas celle de l’actuelle IA, mais de l’intelligence naturelle et ontologique ! Celle de la capacité d’intercepter et développer le glorieux de l’amoureuse reconnaissance pour le Dieu Créateur et trinitaire continu
Mais le problème le plus important sur le plan stratégique, n’a pas encore été effleuré dans son origine réellement générative. Les deux idéologies réciproques, gémellaires et conséquentielles sont nées une après l’autre et en logique causale. Avec la prédominance jumelée de la deuxième parue : la communiste considérée (comme le deuxième né est toujours l’ainé fixé très prépondérant, souvent même sur le plan juridique). Elles ont été conçues par le même ovule théorétique « monozygote » : le libéral-démocratique ! Du reste, que l’on n’oublie pas de se rappeler que le nazisme se nommait « social-nationalisme » et que le fasciste Mussolini était originairement bien « socialiste »… Il n’est pas par hasard que l’humanité entière vit aujourd’hui sur le bord d’une guerre civile mondiale, entre partisans des deux sortes de conceptions globales et « religieuses » : les rationnels-métaphysiques et ceux du néo-gnosticisme immanentiste. Ces deux répartitions de « tifosi » réellement irréligieux et idéologiques sont toujours, de nos jours, privés structurellement de subsistance philosophique. Qui puisse les autonomiser dans le sens que chaque théorie politique ne dispose pas – comme nous avons déjà vu – de propres principes rationnels supérieures et internes : simplement indispensables pour la propre fondation. Les deux forcées idéologies, comme toujours inconciliables et irréductibles, constituent les deux faces de la même fausse médaille. Propre de la fatale aliénation politicienne, dans laquelle le Dieu trinitaire a été, d’une façon absurde, ostracisé en dehors de la dimension publique. Et confiné, lorsque non complétement dénié, dans la sphère résiduelle privative et politiquement dans celle désormais moderniste. C’est-à-dire, qu’on parle de la tragédie générale et apocalyptique en vue !
Le rapport avec la réalité de la globale solution salvifique est à critère du fondement véritatif: celui à la base de l’actuelle idolâtrée « politique » élue à panacée de Tout
L’étymon « In telligere » signifie en effet « se situer à l’intérieur » et non en dehors (de la réalité, par ailleurs encore à découvrir en vraie totalité). Exactement donc au contraire de ce que la soi-disant « artificialité », de l’intelligence actuellement toujours instrumentale et idéologique (étant donnée la situation mondiale constatée d’un point de vue réellement athée), conduit spontanément à poursuivre à priori vers une stupidité colossale de masse… En direction, en surplus, d’un inévitable même faux hédonisme, aussi fatalement clochard, moderniste et toujours plus économiquement limité. Dépendant du même ostracisme sanctionné aux dépenses de… Dieu.
On a ainsi la sapience millénaire transcendante propre du « sens commun » chestertonien, et non de l’opinionisme soi-disant habituellement du très diffusé « bon sens » coutumier et tragiquement conformiste (outre qu’escompté !) dans le non-sens rationnel. Il a été conçu en effet par le même ovule théorétique duquel jaillissent la pensée libéral-démocratique et le social-communiste, sur le plan politique. Mieux toujours politicien et néo-zélote.
Malheureusement, nous sommes très lointaines d’en pouvoir non seulement en sortir, mais même pas commencer à entrer dans son problème conceptuel de fond. Aussi sur le plan international ! Il n’est pas par hasard si l’humanité vit de nos jours sur le bord d’une guerre civile (et nucléaire), mondiale et non-vraiment comprise, autant que tragique et irréductiblement dans la partisanerie factieuse plutôt talibane. E qui seule est en mesure de produire un « religiosité » totalitaire typiquement islamiste… Inacceptable même pour la misère réduite de l’intelligence humaine contemporaine, qui se contente de se situer à l’extérieur de la réalité, même d’une façon subjectiviste et relativiste. Sans aucune recherche de la Vérité !
Aujourd’hui le relativisme régressif « polythéiste » (d’où la Vérité n’existerait plus, mais uniquement ses très nombreuses versions subjectives), rends la suprême intelligence de la religiosité, dans l’Incarnation ressuscitée du Dieu trinitaire, mais absente et silencieuse
L’histoire de l’humanité témoigne de la présence active et, par ailleurs logico-rationnelle du Dieu trinitaire. Le Tout incarné comme évènement fondamentalement principal même dans son essence avec le Christianisme ! Vers la fin dudit Moyen-Âge et au début de ce qu’on a appelé l’Humanisme, en correspondance avec la découverte de l’Amérique (en 1492, et de la presse mécanique en1450), les hommes ont commencé à revenir à une conception exclusivement anthropologique de l’existence sans exclure la philosophie de la divinisation de l’immanentisme humain avec la prétention de se croire Dieu… Ainsi, à une grande richesse de découvertes technologiques, artistiques et géographiques (toutes déjà inscrites et déjà prodigieusement dans l’antiquité et dans le très long millier d’années suivant, il y a eu une régression dans la rationalité qui, en se mystifiant et appauvrie dans sa totalité s’est développée encor davantage dans la factualité. Au détriment de la connaissance rationnelle. En produisant un gigantesque rationalisme (le contraire de la rationalité) dont le but a été de … détruire la Révélation chrétienne ! Celle qui indique la précise et erronée direction vers laquelle nous devrions nous tous adresser, selon les indications totalitaires du pouvoir dément contemporain construit ad hoc, expressément, par un système mondialiste fondamentalement athée et exclusivement anthropologique, dans son finalisme. Mai qui s’est déjà démontré faux et complètement inadéquat à la double vocationalité des hommes, matérielle e divine. L’opposé de ce que tout centre étatique et étatiste, aussi perverti, nous essaye tout de même de continuer à nous tous imposer. En d’autres termes, l’artificiellement devenu crétin et non le naturellement religieux vraiment intelligent. C’est-à-dire qu’on a le libéral-démocratique et le socialo-communiste sur le plan politicien tant adoré. Avec, naturellement, une préférence de Vérité toujours raisonnable pour la première idéologie (si on peut dire)…
Ainsi jamais autant qu’aujourd’hui, il devrait apparaître comme vraiment unique, le salvifique Catholicisme, avec sa Doctrine Sociale de l’Église.
Toujours du Christ et pétrinienne, il va de soi !
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