Non seulement Schwab – le factotum du Forum d Davos et leader des nouveaux “patrons financiers et économiques du monde » – mais déjà le banquier Rothschild, il y a un siècle, avait affirmé qu’il lui était indifférent que le gouvernement d’un Pays fût de droite ou de gauche. Il lui était suffisant que dans ce Pays il pouvait « émettre monnaie » en tant que personnalité privée ! En effet, la création d’argent courant est détenue non par les États (qui ne sont que les débiteurs), mais par ses toujours plus riches citoyens : les banques ! Ce n’est pas par hasard, que le plus grand poète du siècle dernier, l’américain polyglotte proto-mondialiste Ezra Pound, était aussi le plus grand critique de l’usurocratie et du vol structuré dans le capitalisme « infini et étatiste » : ennemi mortel du Dieu Catholique e Trinitaire, moyennant l’émission du contant en propriété oligarchique !

Comment ne pas voir que l’avoir identifié dans le « vile et noble argent » l’origine paradoxal de la plus pure poésie (aux antipodes abstraits de la matérialité) cachait le secret de la véritable spiritualité, chrétienne et seulement catholique ? Voici la notion de l’argent contre l’Evangile !
Ce n’est pas une coïncidence si la dette publique ne fait qu’augmenter dans tous les Pays. Malgré les acrobaties économicistes et « réparatrices » des différents laqués à la tête des organismes financiers mondialistes : pour la gérer encore plus que la gouverner ! Il en est de son propre destin diaboliquement programmé, étant la monnaie de propriété non de tout le Peuple travailleur et unique producteur de véritable richesse (non seulement matérielle). Mais appartenant aux banques privées qui, avec leur logique usuraire et prédatrice – lucrative au maximum – ne peut que s’affirmer toujours dans son développent soutenable. Non seulement, mais toute la finance s’est affirmée, dans les derniers deux ou trois siècles, comme le moteur central et le cerveau stratégique du développement économique, donc culturel : sans même progressivement se fournir de réserves en or ! Et donc, des sortes immanentes et dites transcendantes par les religions. Celles-ci – à l’exception du Catholicisme dit traditionaliste – car celui moderniste actuel de Pape François, saintgalliste et hérétique intermittent à haute intensité, se sont alignées à l’idéologie falsifiant, mondialiste et globaliste de Davos. C’est aussi la raison pour laquelle je suis catholique (sans adjectifs pléonastiques), pratiquant la Messe de toujours en latin, et – sur plan politique  –  je ne vote plus aux élections aussi bien politiques que administratives. C’est la seule possibilité, aujourd’hui, restée de pouvoir exprimer le minimum de non-consensus en Liberté de conscience, dans l’indissoluble unité romaine entre Foi et Raison. Dans la priorité absolue attribuée par ontologie à la dimension toujours transcendante ! La critique active à toute l’idéologie monstrueuse de Davos nr peut constituer le triomphe, donc à nos jours, que le Plan salvifique vraiment authentique du Christianisme, pour l’Humanité toute.

Les véritables grands poétes étaient tous des très concrets matérialistes mais transcendants ! Dante, Shakespeare, Leopardi… avaient une vision unitaire entre Foi et Raison, corps et âme : la monnaie comme origine de la richesse immanente est aujourd’hui le Crime par excellence…
Toute la Civilisation dite catholique, depuis un demi-millénaire (c’est-à-dire de la révolution toujours violente, surtout protestante et hérétique), a été fondée sur l’unité entre réalisme transcendent de la Foi avec la Raison bien humaine, la deuxième naturellement subordonnée à la première : si bien autonome et non séparée avec indépendance. Et par rapport au vital, à savoir avec le corps en relation à l’esprit… Ou bien avec la divine conception « scolastique médiévale » thomiste et franciscaine (mais de saint Bonaventure et non moderniste comme actuellement, non seulement à Assise !). Le spiritualisme sentimental du piétisme a toujours été réellement tenu en dehors du Christianisme. Lequel aujourd’hui semble, au contraire, en avoir fait son idole (résiduel) le plus quotidien e diffusé : après le aberrantes conceptions théologiques du récent jésuite hérétique allemand Ranher. Lequel en a contaminé presque toute l’Église romaine et apostolique. Ou bien, on pourrait plutôt dire au contraire : que c’est la théologie avec sa Doctrine à être infectée, y compris celle catholique et au niveau de masse. Par l’utilisation acéphale de la philosophie immanentiste et rationaliste (absolument non rationnelle), issue de l’éloignement de la recherche de l’Être, de la part de la pensée dite moderne. Celle dénoncée d’une façon éclatante et avec un total succès par le philosophe allemand Heidegger dans le dernier siècle ! Les véritables grands poétes, devenus eux-aussi très rares, sont par définition moins bouleversés par cette perturbation insidieuse, outre que pseudo-naturaliste de la conception pour laquelle il n’est plus le réel existant la référence philosophique indispensable ; mais, généralement, c’est la soi-disant conscience du fameux « cogito ergo sum » (je pense donc je suis) de Descartes à être devenue le totem préétabli d’office, pour le penseur soi-disant moderne ! Y compris les pratiques du minimalisme ou des bestialités hédonistes (mêmes toujours possibles, économiquement et vitalement). La poésie (non certainement celle tragiquement massifiée et simplement… stupide !) est plus rétive – d’autant plus rarissime ! – au modernisme factuel qui semble avoir conquis pour toujours toute la politique : aussi bien évidemment de gauche qu’également de presque totalement la droite. Toute la crise de la Civilisation commence actuellement abusivement à être attribuée à l’Europe. Sans en tout cas en faire la distinction de son institutionnalisation dans l’Union Européenne diabolique, superficielle et, peut-être, elle aussi inconsciente belliciste (avec sa politique toujours provocatoire) !

Les poètes peuvent se tromper sur le plan politique, lequel ne dispose pas des principes dont ils s’alimentent ! Non seulement de la part de Pound mais aussi du philosophe Heidegger…
Même les poétes, ou bien ceux qui disposent d’un tempérament poétisant, dans le chaos organisé par l’anthropocentrisme athée de notre temps, perdent tout de même leur centre pour la référence d’orientation de l’ordre indispensable à leur vision certainement non habituelle. Le grand catholique   Chesterton, dans son livre chef-d’œuvre intitulé Orthodoxie, de plus d’il y a un siècle, met en évidence le paradoxe typique des non-prosaïques (donc des poétes), qui bien plus que les autres ont   tendance à préférer l‘ordre factuel et réalistique. Habituellement on imagine d’une façon vulgaire, comme ceux-ci plutôt fantastiquement « poétisant », esthétisant et conceptualisant vivent bien accrochés aux abstractions irréelles… Spécimens surtout sur le plan politique qui, par définition, est privé des principes qui peuvent le fonder épistémiquement ! Même les poétes se trompent souvent dans les domaines per eux de non-compétence. Il leur arrive plus qu’aux philosophes de tromperies spectaculaires. L’exemple typique est aussi celui d’Heidegger encore inscrit au partit allemand naziste lorsque, à la fin de la seconde guerre mondiale, l’on ne trouvait plus un naziste en circulation… Comme on ne trouvait facilement un fasciste, même pas en France parmi des millions d’ex-pétainistes, ni en Italie parmi les océaniques mussoliniens secrètement orphelins refoulés… Même Pound termina à l’asile renfermé pendant douze ans (!) sans procès (car non-processable en tant que chaque bon poète), par ses mêmes compatriotes américains, toujours plus abrutis dans l’hédonisme à gogo (à partir de la fin des hostilités après le 1946) ! Inutile donc, essayer de formuler des jugements inévitablement politiciens et non commensurables pour les philosophes et, encor plus, pour les poètes. Par rapport aux idéologies politiques infondées, auxquelles ils avaient   seulement très idéalement adhéré, avec toujours des éloignements de pensée ou des hardiesses épiques ou lyriques… Ridicule juger Pound « fasciste », lorsque sa passion qu’on pourrait la définir « obsessive », était l’économie dans sa translation et non la… politique. Même considération pour Heidegger jugé « naziste », lorsqu’on sait qu’il ne se nourrissait que d’un mépris suprême pour la falsification du libéralisme américain (pour lui prophétique). Aujourd’hui toujours plus valide et assez incomprise, encore, universellement ! La politique, rendue dépourvue de ses principes externes qui peuvent la fonder comme véritables et utile jusqu’à l’indispensabilité, constitue encore une chimère impossible même à être seulement pensé pour tous les politiciens, aujourd’hui mondialement situés dans la fausse idéologie politicienne ! Beaucoup plus grave de l’aveuglement de la même politique contemporaine. Que les déformations grossières et utopistiquement mirables, toujours gnostiques, d’une discipline peut-être seulement dénucléarisée ont rendue complétement rationaliste. Donc très lointaine de la Raison !

La diabolique valeur de la monnaie devenue, avec l’État absolu hobbesien, à idole extrême du monde damné capitaliste, faussement contradictoire, communiste et transformiste.
Il suffit de penser à combien on est encore très lointain de l’initial bienfondé épistémique d’une politique qui pense, illusoirement et au maximum toujours falsifiant : le libéralisme occidental comme unique possibilité de théorie politique praticable ! Plutôt que dans l’enfer de notre esclavage complète gauchissant. Le fait d’avoir assisté incrédules à la confession publique face au monde entier, en 1989-91, de la spontanée faillite du communisme, n’a évidemment pas conféré au libéralisme américain un nouveau passepartout acceptable. Au contraire, l’illusion caressée de la politique politicienne généralisée a augmenté la cruauté aussi bien des États-Unis que de l’Europe (dans le sens de l’UE, surtout occidentale) que la palingenèse politique soit l’apanage du libéralisme infini et absolu mais gauchissant ! Hobbes l’avait théorisé avec l’involontaire monstre apocalyptique du Léviathan. Actuellement tout semble se réaliser historiquement avec l’envoi, plus ou moins freiné, des armes dans une guerre inégale (celle ukrainienne) dont le théâtre est dans le territoire d’Europe elle-même ! Et avec l’effleurer de très près aussi de la guerre nucléaire définitive dans la totale possible  autodestruction de la Terre ! Le fait que le communisme avait été produit par le marxisme, fils privilégié (on pourrait dire) de l’idéalisme hégélien immanentiste et soi-disant dialectique, dans son remplacement avec l’« État absolu » au Royaume de Dieu sur Terre, est malheureusement encore une vision même pas initialement courante. Pour sortir du cul-de-sac de l‘affreux libéralisme totalitaire actuel post-moderne, le catholicisme tiré de l’encyclique Rerum novarum du 1991 du très grand Pape Léon XIII est intervenu prodigieusement. Et l’application théorétique du Distributisme attend toujours patiemment d’être au moins reconnu. Seulement l’Observatoire Van Thuân de Trieste, avec son ex-président fondateur, archevêque Crepaldi et son directeur, le providentiel   philosophe et théologien Stefano Fontana, gouverne cette oasis de sapience théologique, doctrinale et vraiment politique de notre modernité. A vrai dire, aussi Radio Maria, la Société chestertonienne italienne e, surtout, l’Associazione Distributiva de Bergame sont assidues à la divulgation de la nouvelle théorie distributiste (de plus d’un siècle) économicopolitique. Les mouvements dits catholiques et bien modernistes (!) n’en savent coupablement… rien !


C’est le Distributisme bien catholique de la « propriété privée diffusée » de Belloc, Chesterton et McNabb à incarner le principe de l’appropriation responsable et transitoire du concret Logos !
À l’enseigne du désormais mythique poète cosmopolite Pound, chantre avec ses Chantos aussi dans la cage à filet de fer dans lequel il avait été enfermé sans jamais procès (!) par ses Américains « libéraux » : dans une torture inouïe, ouverte à la vue de tous et de chacun, jours et nuits. Il faudrait que la vision religieuse des Catholiques puisse se réveiller aussi face à l’évidence désormais incompréhensiblement déniée d’une théorie complète et alternative à l’odieux libéralisme absurde, même dans son usurpée dénomination. L’unique restée plutôt rationnelle par rapport à celle « libéral-communiste et étatiste », avec fausse opposition interne manipulée. Dont le fondement doctrinal, même abstraitement et fatalement célébrée par beaucoup de Papes, est passée en réalité inaperçue au même Magistère ecclésial. Avec toutes ses argumentations critiques et naturellement ontologiques. Le trio anglophone, avec différents livres, conférences et articles ont accompagné les premières éphémères fortunes du Distributisme, surtout dans les Etats-Unis. Lequel avait été précédé, déjà dans la première décade du siècle dernier avec Belloc, le parlementaire ami intime de Chesterton. Celui-ci avait conçu la première application historique distributiste, avec la publication de « L’état servile ». Aussi Chesterton et le moine irlandais McNabb (lequel avait assumé la fonction de directeur spirituel du trio fondateur), avaient écrit des essais autour du Distributisme. Je ne parlerai ici pas des vastes contenus de cette doctrine dont l’origine remonte à toute l’histoire du Christianisme et surtout à l’authentique modernité du Pape Léon XIII. J’ai déjà présenté ces contenus dans d’autres posts. Qu’on se rappelle, pour commencer, que l’Église catholique, y compris ses mouvements laïques, est encore généralement arrêtée (dans la Doctrine Sociale) à la seule et bien valide Subsidiarité… Comme aussi elle apparait refoulée dans le rappel que déjà dans le Genèse du Vieux Testament est mise en évidence la valeur principale humaine, centrale et décisive de la « propriété privée ». Intrinsèquement responsable au maximum. Si bien provisoire comme notre   relativement bref parcours de Vie terraine, bien finalisée à la jouissance transitoire du « bien universel ». Harmonie céleste aussi sur Terre, selon l’interprétation très élargie et extensive du grec « logos ».

L’origine criminelle de l’attribution privatiste aux banques centrales de l’émission de monnaie, jusqu’à l’absurde vocationnel de la lutte de classe propagandée dans la subordination obligée.
Actuellement je veux souligner la double fonction pécheresse du politicisme totalitaire : vocationnel   et économique. Habituellement, aussi le Distributisme est présenté d’un point de vue surtout de la solution, pour « la sortie de la servitude de l’infernal capitalisme », même de la part de ses adeptes : sous la perspective de la seule ou prédominant injustice économique… Le vice archétypique de concevoir la production d’argent indépendamment de la créativité humaine, à la base de la valorisation propre du Travail, avait déjà rendu par l’évidente injustice structurale de tout le système capitalistique. Le marxisme n’avait fait qu’empirer encor plus le modèle hobbesien auquel il voulait apporter le radical remède. Dans l’idéalisme par après hégelien (si bien doublement renversé) ! Non très touché, donc, il a été marqué d’un point de vue pédagogique. Le problème, en effet, est celui de rappeler l’essentiel téléologique, finaliste, du suprême Travail, dans la définition de l’indisponibilité de se mesurer avec la propre activité créative, associée par vouloir divin à la Créativité originaire et transcendant de la… Création. Pas beaucoup de monde, naturellement, pourra-t-il arriver à créer une nouvelle entreprise pou soi-même et pour d’autres. Mais tous devraient s’engager dans le commencement comme devoir originaire du projet vital et vocationnel. La vocation de la création de la valeur ajoutée, au moins pour soi-même et pour sa propre Famille, constitue une phase principale dans l’éducation, aussi personnelle pour chacun (non de la part de l’État !), dans l’assurance à sa propre vie et à la société d’appartenance identitaire. Ainsi que la réussite de la propre indispensable utilité sociale. Jusqu’au cas de l’insuccès pratique de sa propre initiative… Laquelle résulterait fondamentale au moins pour éviter la gravissime déformation produite, par contre, de la perversion du capitalisme passif. Lequel induit à ne même pas penser de créer une entreprise personnelle ou aussi très petite. En tout cas fondée sur la propriété de sa propre Famille, aussi pour glaner les capitaux initiaux durement épargnés et mis à la disposition pour la suprême cause vitale. En cas d’insuccès, on serait autorisés, en effet, à se chercher un travail subordonné comme on le fait pratiquement toujours e presque inconsciemment. Mais dans ce cas, on pourrait (ou on devrait) éviter la falsification idéologique courante. Selon laquelle la non-conclusion du véritable projet libre – même si infondée et destinée à la faillite – servirait pour bypasser au moins la déformation mortelle de la lutte de classe : au libéralisme et au communisme courants !

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