2020 mai 12

L’eresia modernista che continua ad imperversare sempre più nella Chiesa cattolica, anche se in modo regolarmente intermittente, si rende pur sempre completamente eterodossa: l’eresia è eternamente parziale sia nella sua scansione produttiva che nei temi e rispetto ai suoi contenuti. L’ultima sua clamorosa è stata di permettere, senza batter ciglio, l’interferenza inaudita dell’orrendo statalismo – sia in Cina che in Italia – nel potere esclusivo della gestione ecclesiale e nella sua liturgia. Sempre, si sa, intangibili!

Il santo Inglese Tommaso Moro giunse a farsi decapitare come martire cristiano, anche molto colto, per la pubblica opposizione al suo re Enrico VIII che si sposò anticattolicamente sei (!) volte. Pure come «serial killer» di sue consorti, fino al conseguente, orribile e ovvio scisma anglicano… Il modernismo prende le sue origini, molto protestanti, anche […]

L’hérésie moderniste qui continue à déferler toujours plus dans l’Église catholique, même si d’une façon régulièrement intermittente, se rend tout de même complètement hétérodoxe : l’hérésie est éternellement partielle aussi bien dans sa scansion productive que dans les thèmes et par rapport à ses contenus. La toute dernière a été de permettre, sans broncher, l’interférence inouïe de l’horrible étatisme – aussi bien in Chine qu’en Italie – dans le pouvoir exclusif de la gestion ecclésiale et dans sa liturgie. Toujours, on le sait, intangibles !

Le saint anglais Thomas More se fit décapiter comme martyre chrétien, même très cultivé, à cause de l’opposition à son roi Henry VIII qui se maria anticatholiquement six (!) fois. Aussi en tant que « serial killer » de ses conjointes, jusqu’au conséquent, horrible et escompté schisme anglican… Le modernisme a ses origines, très protestantes, aussi depuis […]