2023 mars

Prendiamo l’etimo d’“intelligenza”, ossia ciò che definisce il tratto principale dell’uomo. E prendiamo anche due uomini agli antipodi: uno grande pensatore occidentale, di razza bianca con cultura oceanica e “modernamente” agnostico; l’altro, un povero contadino analfabeta africano, di pelle nera ma cattolicamente religioso. Tra i due, il secondo potrebbe facilmente essere molto più intelligente del primo! L’intelligenza, infatti, deriva da intelligere, cioè “legere” (capire la realtà, ovvero saperla leggere); e dal prefisso “in” (ovvero dentro, al di là delle cose stesse). Ciò che costituisce l’intelligenza non è dunque la cultura, anche se parecchio coltivata, ma la consapevolezza della sua totalità esaustiva e integrata, per conseguenza trascendente, armoniosa e unificata nell’assoluto divino della Verità. Tesi questa, contestata vivamente oggi in Occidente e dal cui dirimere, anche nel funesto, dipende la Salvezza del futuro umano.

Tra “l’uomo è lupo per gli uomini”, attribuito in genere falsamente all’inglese Hobbes e la “società naturale” del precristiano Aristotele, non c’è vera opposizione: sono i lati nella stessa medaglia della convivenza   dominata dalla “paura” dello Stato modernista, sulla “fiducia” della sua Comunità socievole. Gli arzigogolati psicologismi, sociologizzanti detti moderni, non sono  mai riusciti a […]

Prenons l’étymologie d’”intelligence”, soit ce qui définit le principal de l’homme. Et prenons aussi deux hommes aux antipodes : un grand penseur occidental, de race blanche avec culture océanique et modernement agnostique ; l’autre, un pauvre paysan analphabète africain, de peau noire mais catholiquement religieux. Entre les deux, le second pourrait facilement être beaucoup plus intelligent du premier ! L’intelligence, en effet, dérive du latin « legere » (comprendre la réalité, ou bien savoir la lire) ; et du préfixe « in » (c’est-à-dire dedans, au de là des choses elles-mêmes). Ce qui constitue l’intelligence n’est donc pas la culture, même si plutôt cultivée, mais la conscience de sa totalité exhaustive et intégrée, par conséquent transcendant, harmonieuse et unifiée dans l’absolu divin de la Vérité. Thèse celle-ci, contestée aujourd’hui en Occident et dont la possibilité de la résoudre – même dans le funeste – dépend le Salut de la future humanité.

Entre « l’homme est le loup pour les hommes », faussement attribué à l’anglais Hobbes et la « sociabilité » du préchrétien Aristote, il n’y a pas d’opposition : il s’agir des deux côtés d’une médaille dominée de la « peur » de l’État moderniste, sur la « confiance » de sa communauté. Les psychologismes tarabiscotés, sociologisant modernismes dits modernes, n’ont jamais réussis à […]

Anche ammettendo che i parlamentari europei non siano deficienti, ma solo machiavellicamente perfidi di neognostici, l’assurda decisione largamente maggioritaria di escludere, in Europa dal 2035, le autovetture non elettriche è totalmente dissennata. Innanzitutto essa sarebbe giustificata da un “falso fattuale climatico” – comunque non provato, anzi! – per cui tutto dipenderebbe dal CO² riscaldante (peraltro indispensabile per i vegetali, in costante espansione); ci sarebbe poi la nota impossibilità tecnica di far fronte all’oceanica sostituzione tecnologica del sistema (si pensi al gigantesco problema occasionale delle colonnine di ricarica); in seguito avremmo lo spreco economico (dopo quasi vent’anni di recessioni!) aggravato dalla pratica di ricaricare per almeno due ore al posto di due minuti al distributore con nemmeno la metà di autonomia… Per poi accorgersi che solo il 9% della popolazione mondiale (!) “finge di obbedire all’imposizione” di Parigi di “non inquinare”. Per infine considerare che una decisione di tale grandezza non possa essere presa per legge, ma dai mercati, liberamente e in progressione.

La tragedia è che li abbiamo eletti noi, votandoli, questi parlamentari abbrutiti (e corrotti). Il rimedio è ancora possibile con una nuova maggioranza opposta: nell’elezione europea del 2024! In politica più o meno democratica, spesso ci si dimentica che l’origine di tutti i mali consiste nel fatto che gli eletti sono il frutto di elezioni […]

Même si on admet que la majorité des parlementaires européens ne soit pas constituée de demeurés, mais seulement d’une manière machiavélique et perfide de néo-gnostiques, l’absurde décision d’exclure (dans l’Europe de 2035) les voitures non électriques est complètement insensée ! Elle serait justifiable, selon eux, par un « faux factuel climatique » – tout de même non prouvé (au contraire !) – car tout dépendrait du CO² réchauffant (par contre indispensable pour les végétaux, en constante… expansion) ; puis on aurait la bien notoire impossibilité technique de faire face au grand remplacement technologique du système (que l’on pense au gigantesque problème occasionnel des stations de recharge) ; ensuite, on aurait à faire face avec l’océanique gaspillage économique (après presque vingt ans de récessions !) moyennant la pratique de se refournir pour au moins deux heures au lieu des actuels deux minutes au distributeur ! Et pour une autonomie double. Jusqu’à s’apercevoir que seulement 9% de la population mondiale (!) fait plutôt semblant d’obéir à l’imposition de Paris de ne pas (soi-disant) polluer. Pour enfin considérer qu’une décision de cette taille ne puisse pas être prise par… loi, mais par les marchés, librement et progressivement.

La tragédie est que c’est nous à les avoir élus, ces parlementaires abrutis (et corrompus). Le remède est encore possible avec une nouvelle majorité opposée : à la prochaine élection du 2024 ! En politique plus ou moins démocratique, souvent on oublie que l’origine de tous le maux consiste dans le fait que les élus sont le […]