2014 novembre 13

À défaut de génie, il faut toujours « le court d’auteur ». Par ailleurs les rarissimes génies ont horreur de l’inutilement long. En musique, en affaires comme dans la communication moderne.

En marge de la soirée musicale offerte par des amis à mon épouse pour son anniversaire, je voudrais traiter rapidement d’un thème insolite : la durée de l’œuvre musicale, de son importance purement quantitative. Les deux symphonies en programme s’y prêtaient particulièrement : la cinquième de Beethoven et la huitième de Chostakovitch. D’un peu plus d’une demi-heure […]