Le troisième millénaire avait heureusement débuté avec la fin de la Guerre froide contre l’ex-Union Soviétique. Laquelle s’était spontanément rendue, une dizaine d’années auparavant et après plus de septante ans, comme ancienne Russie à nouveau religieuse, personnifiée par le jeune (et discuté) Poutine. Qui s’était bien présenté au sommet mondial en 2002, sous la présidence italienne. Aujourd’hui tout l’Occident est encore en guerre – mais vraiment destructive et sanguinaire – avec la même Russie. Contrainte à la coalition avec au moins la Chine (et l’Inde) : c’est-à-dire avec la moitié galopante antagoniste de l’Humanité entière. Cherchons l’erreur !

Au lieu d’intégrer dans la “démocratique” civilisation occidentale, le publiquement repenti Kremlin (ex-communiste athéiste mais bien encore autocratique), les Etats Unis et l’Union Européenne ont   repoussé la Russie qui avait formellement demandée d’être reconnue européenne : aussi bien historiquement (depuis pas moins la Grèce ancienne) que religieusement (chrétienne orthodoxe).
Ceci en poussant fatalement la Russie dans le bras de la Chine restée, elle, totalitairement communiste sur le plan politique. Et spirituellement politicienne rationaliste sur celui religieux. Entre temps, cette Chine était devenue aussi économiquement “capitaliste illimitée” : toujours dirigiste et dictatoriale (on avait à faire à l’étatisme actuellement disparu comme terme usuel en Occident, même catholique !). Et, de surcroit, en insoutenable et immoral dumping, par rapport aux gras marchés occidentaux. Mais Pape François, qui a signé l’accord avec la Chine (même secret) et qui s’affiche en ami plutôt gnostique du “catholique” Biden, connait-il au moins l’existence de la doctrine… vraiment catholique du Distributisme anti-libéral et léviathan? Donc monstrueusement, avec son État totalitaire contre la Personne ? Trois malheurs ont contribué à cette œuvre suprêmement  délétère et masochiste pour l’Occident : d’abord un grand auto-mépris propre de l’Occident, dans son acception de “civilisation”, agissant depuis plus de cinque décennies vers soi-même, selon l’idée que tous les malheurs du monde – vraiment tous ! – ont racine dans la culpabilité cumulée de sa propre civilisation ; en deuxième lieu, l’idée gnostique e moderniste, surtout européenne mais désormais acquise mondialement, pour laquelle il faudrait instaurer dans la planète entière une nouvelle civilisation NOM (Nouvel Ordre Mondial ) : lire “Cancel Culture” en acte et d’une façon accélérée; et en troisième lieu, en ouvrant aussi à la Chine totalitaire, gratuitement et sans contrepartie même pas politique, le libre marché mondial du commerce (le président Trump y apportera, certainement trop tard, pas mal  d’impôts à l’importation américaine…). Cette triple vision néfaste avait été analysée particulièrement avec génie par le Pape Benoît XVI, surtout pour l’auto-mépris ! Il restait, naturellement, à considérer et sauvegarder toute la civilisation indienne (avec son milliard et trois cent millions d’habitants !) décidemment en cheminement avancé dans la voie de ce qu’on avait dénommé (après Gandhi) “la plus étendue démocratie spirituelle mondiale” !

L’incroyable ânerie infernale, déjà opérationnelle dans le monde, relatif à la dénatalité en masse,  à l’avortement généralisé et à l’euthanasie dépénalisée : selon l’opinion acquise pour laquelle la planète Terre ne pourrait permettre avec certitude le bonheur à plus de la moitié des humains !
À ces trois malheurs, dont l’origine remonte à plus d’un demi-millénaire consacré à la Gnose après le Moyen-Âge, se sont évidemment ajoutés les dégradations précipitées de la civilisation occidentale fondamentalement chrétienne. Avec tous les avatars de l’abrutissement aussi du personnel politique de premier plan, victime de la générale “sélection négative” produite par l’avent de la société de masse. Bref, la massification des comportements et de la “pensée unique” et “liquide” de l’homme dit moderne qui, ayant perdu son sens créatural et religieux, a produit toute la folie acéphale contemporaine. Aggravée par la conviction néo-malthusienne et criminelle, désormais implicite dans les soi-disant principes scientifiques (en réalité, scientistes et  rationalistes !), selon lesquelles la Terre ne pourrait permettre l’existence que pour la moitié de ses habitants ! Et ceci même contre l’évidence que ce “principe” avait été pondu a la veille illuministe et positiviste de la révolution française déjà démente : lorsque la population mondiale n’était qu’un septième de… l’actuelle. En première e ultime analyse comme toujours, la radicale et apparemment même splendide Vérité dans le monde est donnée non sur le plan cru politique e immanentiste (ce qu’on appelle habituellement le “concret” et le “majoritaire”!), mais sur celui ontologique et éternel (dit aussi jus-naturel) : d’où la vraie  opposition réelle et éternelle, entre mécréants et éternellement religieusement dotés de créaturalité (même si pécheurs).

La folie du renversement occidental dans la stratégie dudit “libéralisme permissiviste et hédoniste” (illimité), au frais de la Russie. Devenue au moins ouverte jusqu’ à la liberté “démocratique”…
Plus d’une moyenne d’un million par an a été le total des victimes des différentes guerres (!)  illicitement provoquées et conduites par les USA, dans la dernière vingtaine d’années. La méthode militaire utilisée a été obtenue avec la falsification de la progression fonctionnelle de la Nato. Laquelle, au lieu de se dissoudre, car son but spécifique avait été éliminé par la fin réelle de la “Guerre froide”, avait par contre confirmé son existence belliqueuse (et non défensive) avec l’adhésion immédiate de 13 Pays (!) du Pacte de Varsovie : toutes des nations qui faisaient partie de l'”Empire du mal” de l’Union Soviétique, avant son écroulement-implosion en 1989-91 : comme prophétiquement et politiquement décrit en solitaire par le grand président Reagan explicitement. Lequel savait très bien que la vraie démocratie n’est nullement fabricable avec un premier et unique choix politique… Une vraie monstruosité impérialiste, celle-ci américaine de la Nato, falsifiant sa fonction née comme défense occidentale face au marxisme communiste, mondial agressif et menaçant. Mais devenue sans objet, après l’acte de reddition publiquement et mondiale du Kremlin et de Berlin. Confirmé, sous la présidence italienne de l’alors G7, qui avait fait serrer ensemble les mains des présidents de la Russie et américain… La stratégie globale était, à ce point, très simple : il fallait consolider l’unité avec la nouvelle Russie et l’intégrer complètement dans sa naturelle alliance occidentale, en direction aussi  planétaire… Au contraire, l’Occident nord-américain et surtout la trahison gnostique et hédoniste  européenne, encore actuellement en acte avec le projet issu de Maastricht, ont décidé à l’opposé, l’honteuse stratégie de l’exclusion irrationnelle et idéologique de la Russie. Par la générale nouvelle ligne globaliste occidentale, dite “progressiste et réellement gnostique” : c’est-à-dire le choix de renversement du cours de toute la civilisation de l’Occident. Donc la folie totale ! La même à vrai dire déjà en cours depuis des siècles en Occident, avec le choix anthropocentrique d’abord protestant (sur le plan religieux) et philosophique (sur le plan culturel et social). Il suffisait, par contre, dans nos années récentes de ne pas soutenir, silencieusement, le terrorisme financé “américain” aussi dans le Donbass e renoncer raisonnablement à la non vraiment nécessaire adhésion à la devenue absurde Nato de tous ces Pays. Afin d’éviter l’actuelle tragédie qui pourrait amener l’Occident aux extrêmes conséquences d’une, pour l’humanité, guerre nucléaire…

L’action du gnosticisme occidental, progressiste européen dit “libéral” en Amérique, s’est ainsi déchaînée idéologiquement contre la traditionnelle Russie. En installant et finançant, de la part des “progressistes”,  à la frontière du Donbass (dont la proclamation de deux républiques Donetsk et Lugank), les bataillons terroristes qui ont produit la totalité de plus de 14.000 morts en 8 ans, dans le but de faire abandonner les territoires à la population russophone ukrainienne…
Objectif éversif, celui-ci, réalisé seulement en partie grâce aussi aux tueries d’enfants de la part de tireurs d’élite cachés sur les toits et dans les appartements vidés, pendant que les petits se rendaient à l’école (ces terroristes appelés nazis de la part de Putin, non sans raisons)… Justification principale, celle-ci, de l’actuelle guerre en vengeance supplémentaire de l’humiliation destructive de la Russie après son aveu de sa totale faillite : à l’enseigne des “accords” de Paris au détriment de l’Allemagne défaite dans la Première guerre mondiale. Et déjà décidée (le temps de se préparer) à la Deuxième autant planétaire.  La Nato est ainsi devenue l’instrument de l’impérialisme mondial des USA, dénommés fondamentalement de “libéraux progressistes” de gauche (mais aussi de droite), restés au pouvoir (même frauduleusement). À l’exception d’une deuxième Amérique du nord, dite souvent même majoritaire (!), qui  se situe toujours à l’opposition tellement radicale qu’on n’arrive même pas à la définir couramment avec précision ! En réalité, toute la différence entre ces deux parties apparemment irréconciliables a déjà parcouru – avec des différentes proportions et nuances – la composition gnostique et religieuse du monde entier (actuellement ouvertement destinée par le NOM à une seule religion-idéologie, fausse, horrible et syncrétique. Ledit progressisme moderniste, incrédule et  rationaliste (non rationnel !) outre que anthropocentrique, s’oppose ainsi irrémédiablement à celui “raisonnable” d’une généralement apparemment croyante de droite, reconnaissant tout de même sa créaturalité, dans la transcendance. Et, surtout, dans la seule religion restée parmi toutes les autres, l’unique officiellement au moins nominalement (et en partie), rigoureusement réaliste et transcendante : le Catholicisme ! Ce qui complique ultérieurement, ce cadre religieux et idéologique est aussi le fait que l’Église catholique est malheureusement traversée par cette “crise” historique. Dite moderniste depuis des siècles, personnifiée par la tendance hérétique intermittente (malgré sa continuité hétérodoxe essentielle) aussi et surtout de l’actuel Pape. Toujours saintgalliste et de son nombreux clergé fraichement élu aux positions du pouvoir ecclésiastique. De type fondamentalement anthropocentrique et rahnérien, plutôt que christocentrique. Dans  une tradition, de tous derniers temps, qui s’est faite seulement moins  insistante…

La dégradation moderniste, dans le Catholicisme authentique, produit inévitablement l’initiative syncrétique des fausses religions, dans une damnée venue de l’Antéchrist “modéré”…
Il y a en cours, pour cela, un grand mouvement de retour, en effet, au conformisme immanent aussi des “catholiques laïques”, même auparavant dissidents vers la papauté, toujours inconditionnelle et indépendamment prédéterminée. Outre que également impénitente de son modernisme hétérodoxe qu’on a réellement et abondamment encore pratiquée et enseigné urbi et orbi  (même depuis le Concile Vaticain II). Et seulement galvanisé par ce dernier choix de la sainte “Consécration de la Russie et de l’Ukraine au Cœur de la Vierge Marie” (qui n’a mis en colère que l’hérétique toujours protestantisant, jusqu’avant hier chouchou du Pape, le pseudo frère Enzo Bianchi) ! Cela donc n’a pas été la responsabilité de la “crise de l’Eglise catholique” dans le dernier demi millénaire avec ses deux schismes (luthérien et anglican) : elle en effet n’existe même pas, car ce sont les hommes d’Église à être parfois hétérodoxes! Et même pas la diffusion des philosophies bourgeoises et mécréantes de type rationaliste. Ce qui a constitué et encore préoccupe tout le corps ecclésial est l’infiltration de l’anthropocentrisme et de toutes ses tendances à l’intérieur du Catholicisme. Lequel se voit attaqué par l’influence des doctrines protestantes qui ont “modernisé” le christocentrisme historique et théologique de l’Ecclésia en le rendant maintenant excentrique et, surtout, plutôt immanente. Même si d’une manière intermittente. Et avec une modalité sournoise et mystifiée au point que l’œcuménisme de conversion des fausses religions au Catholicisme a aussi été renversé, en une sorte de recherche de synthèse syncrétique, des différentes philosophies et cultes substantiellement anticatholiques ! Tout ce cadre néo “théologique” amène parfaitement au cocktail pseudo-religieux anthropocentrique qui a toujours été la présence de l’Antéchrist dans l’histoire. Où naturellement la Révélation n’a plus de place. Et qui est préannoncé dans les innombrables pratiques plus au moins explicites déjà installées ou en vue de l’être progressivement et astucieusement !

Même après la conclusion (provisoire ?) de cette atroce guerre ukrainienne, on ne sera qu’à la continuation d’une grave phase historique d’esclavagisme et de division mondiale. Entre les nouveaux totalitaires progressistes du Nouvel Ordre Mondial et une minorité fatale d’hommes rationnels, civilisés et éternellement religieux : les Catholiques. Le monde ne sera plus le même !
Certainement, il sera à prévoir une non brève période (déjà en acte) de farouche et dangereuse opposition sanglante et mondialiste. La pensée générale est immédiatement polarisée sur trois nœuds immédiats. Le premier est constitué par certains Pays baltiques trop intempestivement adhérés à la Nato infondée ou en train de le faire, tout en étant situés même aux frontières de la soudainement détestée Russie (non sans légitimes justifications !), tout autant que la candidate Ukraine, à la  portée d’un coup de fusil visé sur Moscou ; le deuxième malheur compose la préoccupation pour le sort de la fragile démocratie de l’immense Inde, entrainée géopolitiquement autant contre-nature que la Russie elle-même, dans l’alliance avec la toujours tyrannique et expansionniste Chine (plutôt économiquement, pour le moment) ; et la troisième, concerne  le sort de la chinoise Taiwan, totalement américanisée dès sa fondation et depuis presque quatre-vingt ans (depuis la période de sa guerre civile, dite maoïste de la “Longue marche”) : ponctuellement revendiquée par le terrifiant régime chinois (bien préparé à la reconquête militaire), pour le 2025…
Naturellement, la préoccupation encore supérieure est constituée par l’actuel destin de l’Union Européenne. Qui, ayant trahi avec le Traité de Maastricht, le premier projet “communautaire” européen non mondialiste et gnostique, naturel et diversifié confédéraliste, s’est ensuite auto-destiné à son déclin et a s’appauvrir économiquement après l’avoir fait spirituellement. Et ceci contre l’idée des premiers fondateurs catholiques Adenauer, Schumann et De Gasperi, de la nouvelle Europe qui s’est mise, par contre, à la tête du NOM (Nouvel Ordre Mondial) ! Lequel a pris le relais, en l’empirant, du déjà effrayant programme du “Club de Rome” des années 60, complètement néo-malthusien et déjà esclavagiste au niveau planétaire !
Le tout, sans même pas un bronchement catholique. Comme si le Péché originel avait magiquement disparu… À l’enseigne de l’opinion des rahnériens les plus extrémistes, comme le soi-disant “synodaux” allemands.

Être contre la guerre ? Bien sûr ! Mais alors on doit être surtout contre les causes de la guerre.
Et non à faveur du soutien réalisé depuis tant d’années avec le NOM, les USA e l’Europe de l’UE !
Comme il est très généralement répandu, le conformisme est roi en Europe : les soi-disant idéaux hédonistes et très immanents se sont massifié au maximum. Il y a aussi le soutiens des catholiques, aussi dernièrement pétriniens, qui se sont rendu à l’idée, dernière espoir, du Salut pour les masses populaires abruties. Lesquels, acculés par une certaine pauvreté économique, induite par les stratégies réductionnistes psycho-génocidaires déjà en cours, pourront  peut-être réagir humainement au lieu que dans l’illusion hédoniste totalement (ou presque) soumise et grandissante ! À cette nouvelle conception civile (mais irréligieuse et très immanentiste, même disposant d’une partie très importante de catholiques, vient de s’ajouter le pacifisme méprisant qui, aujourd’hui s’est même exprimé, assez paradoxalement, avec la soi-disant solidarité avec les Ukrainiens pour l’accueil et les aides. Mais surtout avec l’envoi d’armes et munitions (outre que mercenaires volontaires !) .
Le soutien à la résistance dite populaire a été presque partout unanime et massive : cependant avec une hypocrisie rare dans le monde entier et absolument suprême de la part de la masochiste prévisible UE ! On ne peut pas, naturellement et logiquement, s’exprimer, comme catholiques, encore une fois contre la violence et la guerre en se positionnant à côté du Pape François qui – dans cette occasion – a été très clair (pour le catholique s’est coutumier !) avec la sainte “Re-Consécration à la Vierge” des deux actuellement belligérants. Et, en même temps soutenir l’envoi d’armes. Qui ne font que prolonger, en l’occurrence, les massacres terribles et les atrocités des destructions. Dans le cas actuel, les antagonistes belligérants sont dans une proportion tellement impaire qu’il est en surplus criminel d’instiguer, avec n’importe quel moyen, la continuation des hostilités sanguinaires et de dévastation… La raison et le raisonnable ne devraient que prévaloir, surtout lorsque on ha décidé, sagement comme Occident, de ne pas intervenir avec les soldats et des grands moyens de destruction directes… !

L’actuel reflux du Catholicisme, vers le papisme inconditionnel et en intermittence, est tout de même hérétique : bien enseigné et facilement oublié. Il se déroule dans un irresponsable et frileux  spiritualisme personnaliste et inter-relationniste : toujours resté péché même capital !
Le tout, en effet, est aggravé du fait qu le Catholicisme officiel, est affecté par rapport à la tendance moderniste et hérétique surtout depuis le Concile Vatican II. Le seul encore opposant théorique (c’est-à-dire l’Église catholique) aux horribles visées de la pratique politicienne et rationaliste, dont la mystification hyperpuissante, peut être résumée en l’idéologie et dans l’action discrète du NOM du Davos actuel. Cette Église “catholique” intermittente a commencé son soutien de facto au NOM, avec l’amitié réitérée du “libéralisme américain” gnostique et progressiste. Et avec les nombreuses déclarations hétérodoxes philo-européennes, idéologiquement actuelles (toutes toujours abondamment confirmées par Pape François), pour  arriver ensuite à conclure aussi  l’accord secret (!) de l’Église de Rome avec l’abominable et épouvantable Chine totalitaire ! En réalité c’est l’infiltration dans la Doctrine catholique depuis plus d’un demi-millénaire de la part de fausses philosophies inévitablement immanentes, qui continuent son succès d’une manière époustouflante, précise et stupéfiante. L’on peut ainsi vérifier que le vrai gnosticisme a toujours existé comme empêchement (auparavant très partiel) au Salut divin et chrétien. Une sorte de variante “infectieuse” a été dernièrement le spiritualisme étatiste, c’est-à-dire la conception pseudo-religieuse pour laquelle la vision transcendante de la vie ne s’applique que sur le plan intime de l’homme, privé et personnelle. Et non sur l’État ! D’une façon, au plus, exclusivement et inter-personnaliste et avec une modalité unique et exclusive de la dimension publique. Et générale comme strictement individuelle.

La précondition pétrinienne de l’obéissance à l’Autorité ecclésiale catholique : la récalcitrante théologie du mule et l’inconscience obéissance du cheval rapide, mais non chargé…
Le Christianisme est la naturelle initiative de la Trinité d’incarner la vie des hommes et de leur montrer comment, tout simplement et humainement, vivre selon une vocation évangélique et  téléologique. De grande et totale finalité naturelle et divine selon l’enseignement du Christ! Mais à l’esprit de Liberté e de Salut éternel propre de la Trinité, il est antagoniste le diable qui veut la damnation de l’homme non seulement dans la vie éternelle. Mais également ici sur Terre! Non seulement depuis des siècles, des mauvais maîtres nous veulent ainsi du mal et essayent, à partir aussi des règles publiques, de nous perdre éperdument.   
Conjectures, celles-ci, pessimistes d’un petit catholique comme moi, inopportunément apocalyptique (parmi d’innombrables dans le monde et comme d’aucuns répètent toujours) ? Jésus lui-même ne cachait pas Ses doutes de Liberté pour lesquels, à Son retour sur la Terre, on aurait pu retrouver encore réellement de la véritable Foi ! Son réalisme naturellement transcendant Le faisait naturellement douter : que se le rappellent – surtout les laïques et le clergé catholiques silencieux – dernièrement animés par la tentation de redevenir, d’une façon moutonnière, à nouveau papistes inconditionnels et oublieux des très récentes nombreuses pratiques pontificales hétérodoxes. Ceci à cause aussi du manque habituel de la contrition aux péchés et relatif à la pénitence : sans, ou dans une pénurie épouvantable, des  Sacrements de la Réconciliation ! La religieuse hardiesse de l’Espérance missionnaire n’a jamais été en contradiction avec la Vérité évangélique : au contraire ! Le spiritualisme exclusiviste du témoignage public du Christ Roi de l’Univers, à défaut de l’actuelle et non encore réelle répression sanglante du pouvoir gnostique, est et reste un péché capital ! 

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