C’est le “Corps mystique de l’Église catholique” souvent peu visible, le but permanent du chemin de l’homme, autrement voué à la perdition. Même mentale et comportementale ! Aussi le plus divinement doué des Mouvements catholiques a comme seule destination d’abord la sanctifiante Église. Avec à la tête toujours le Christ. Et ceci, dans la figure, presque jamais garantie comme de nos jours, par son “Vicaire” Pape François : intermittent dans son actuelle tendance moderniste, immanentiste et protestantisant.

Sous peine de rester tragiquement enfantin et pléonastique, un Mouvement catholique avec son charisme spécifique, donc toujours communautaire, ne peut qu’aboutir dans le Mystère de l’Église, fatalement maltraité et dénuée par le monde. Et aujourd’hui même peu visible sous la manie de présence obsessive et hétérodoxe de l’actuel Pape, régulièrement immanent et hétérodoxe, très applaudi inutilement par les mécréants.. À l’opposé du rigoureusement et providentiel archevêque ambroisien Viganò,  ex-chargé par le Vatican, pleinement converti à l’Église pétrinienne !
Courir derrière le monde, comme il le fait depuis des décennies Pape François, lequel pense que l’humanité soit substantiellement déjà investie, ranhériennement, par la supposée tout de même inconditionnellement disponible et invariable Grâce de Dieu. Et ceci, aussi sans l’éternellement indispensable, intermédiaire et évangélique de l’Ecclesia divine de Pierre. Dont le colossal apparemment manque téléologique, par rapport à la poursuite de la mentalité mondaine, rend évident le problème constituant la grande crise d’Apostasie dans l’Eglise romaine. Ou mieux dans les hommes au sommet de l’Église ! Galopante celle-ci depuis des siècles et, spécialement, de la mort de Pape Pie XII, depuis le Concile Vatican II e, particulièrement, de ce dernier Pontificat entêté dans l’hérésie… Avec deux crises vraiment bouleversantes de refondation, si bien de nature opposées, Communion et Libération en une cinquantaine d’années, dans le 68 e dans le 2005 après la mort du fondateur Luigi Giussani, doit se poser des questions bien plus radicales que d’habitude.
Avec maintenant les actuelles démissions, même forcées, de son successeur président, monseigneur Carron, dauphin défini très “étranger”, depuis le début de l’histoire dudit  glorieux Mouvement, doit maintenant faire face une sérieuse analyse dite de “double crise”, interne et externe, radicalement significative. Surtout si on pense que CL ne dispose désormais personne qui sache qui détient vraiment le pouvoir dans le monde! La chose è indispensable pour au moins comprendre le discours eschatologique et  salvifique du très grand monseigneur Viganò. Encore aujourd’hui la grande majorité des membres de ce Mouvement historique vivent dans la plus complète ignorance à propos de la politique et de la théologie qui, dans les derniers quinze ans et plus, ont aussi définitivement démystifié, par exemple, le dernier Concile. Soi-disant risiblement “exclusivement pastoral” et non doctrinalement christocentrique ! Où il s’exhibait encore comme leader culturel, pratiquement indiscuté, l’encore assez peu méconnu “expert” et jésuite hérétique, Karl Rahner.

La récente ignorance théologique et historiquement ecclésiologique de Communion et Libération, s’appuyant sur l’immense et authentique culture du peut-être le plus grand religieux catholique du dernier siècle: celui du “seul les audacieux parviendront au Royaume des Cieux”…
Lequel Rahner, non seulement cohérent à sa copieuse et diaboliquement anthropocentrique “théologie immanentiste du succès” (bien autre chose, donc, que le humble Mystère de la Croix !), se préparait à vivre “more uxorio” avec sa maîtresse… Et il en faisait même son “grand enseignement publique”, totalement suivi déjà par une majorité ecclésiale au moins européenne.
En vidant, pour au moins une cinquantaine d’années et bien plus, le concept même d’Autorité, comme basilaire dépendance réelle, active et conséquente de la seule et exclusive Trinité… Reçu avec beaucoup d’honneurs par Pape Paul VI en plein Concile (dans l’unanime applaudissement ou presque, de cardinaux et évêques), le moderniste Rahner eut peut-être l’involontaire mérite, avec ses grossières affirmations doctrinaires totalement anthropocentriques, d’aider en manière inconsciente à convertir laborieusement et profondément le Pape lui-même. Lequel sortit, déjà en 1968, son “incommode” et inattaquable Humanae vitae  : l’encyclique tant repoussée et même indignement ridiculisée, autant jamais vraiment contestée ponctuellement, doctrinalement et aussi en mode rationnel. Et ceci, encore aujourd’hui, après plus d’un demi-siècle !

Le plutôt falsifié amour “personnel” de CL pour les citations de père Giussani, jusqu’ au  point à les rendre acritiquement surévaluées dans le désert anthropocentrique de sa contextualisation: dans la sous-évaluation de la méconnaissance doctrinale.
Même les militants échappés de CL, après la trahison de leur Mouvement, surtout dans le troisième millénaire, en occasion de la succession à père Giussani , avec en tout cas très souvent un pied resté “adolescencement ” à l’intérieur de CL, “pour continuer à demeurer (inutilement) dans leur soi-disant histoire personnelle”…: logiquement toujours bien évidente et immuable, naturellement ! Dans une modalité contraire à tous ceux qui avaient rompu, tout de suite après, avec la ligne bergoglienne, spiritualiste et “fraternellement” presque franc-maçonne… Dans les dernières années, beaucoup parmi eux, arrivaient même à considérer, en mode moderniste, la Vérité évangélique inferieure ou très subordonnée au concept de “Communauté” amicale (presque) concrète. Dans l’acception, vocationnellement et primairement “autoréférentielle” (désormais même pathétiquement en tant que vieilles personnes qu’elles étaient devenues !). Sur le plan de la vie existentielle et immanentiste ils avaient atteint, en surcroit, la vie dite “à la française”  : dans l’idéologie plutôt vague et horizontale des “Lumières” civiles sécularisées (père Giussani, déjà très malade et épris de sa proche rencontre déjà avec son Créateur ! Et, d’autant plus, même avec les tendances d’influences  –  comme toujours depuis plus d’un demi-siècle – vaguement modernistes propres à la Maritain, imperceptiblement  et très partiellement, jusqu’à saint Pape Vojtyla… À la façon de deux grands champions du même modernisme rahnérien, adhérents à la même soi-disant (!) “Mafia de Saint Gall”, ainsi définie par son chef belge, le cardinal Danneels. Ils leur avaient permis de flanquer la classique auto-vantardise, plutôt féroce dans sa critique, concernant l’enthousiasme plutôt enfantin de célébrer, en mode prévisible et très publique, leur CL. Devenu entre-temps – qu’on disait – éternellement juvénile dans le sens non flatteur,inadéquat et chronologique du mot : malgré l’important “troisième âge avancé” de la grandissime majorité de ses anciens membres (le mouvement de Jeunesse estudiantine devenant d’une façon figée tendanciellement  le model prototypique figé de toute CL. Dans un monde très laïciste sur le plan idéologique et sécularisé...
Et ceci dans un Mouvement en tous cas prioritairement ou seulement – même justement – éducatif. Mais dans le sens toujours de l’initialité élémentaire de première jeunesse réitérant la compréhensible et bien connue hardiesse. Relative à la stupeur découverte, pour la plupart, d’une vision unique et unitaire de l’existence religieuse, mais habituellement schizophrénique dans le monde totalement incrédule et matérialiste ! Tout ceci, par le truchement des critiques publiques d’origines bancales et réellement féroces (d’origine bien immanente) du cardinal Martini, avant son déménagement pensionnaire en Israël ; et analogues de la part du Pape François en 2015, en audience publique face à environs 100.000 militants de CL présents (!) à place Saint Pierre…

La téléologie finalisée d’un “Mouvement catholique” – sinon d’une façon vocationnelle et pour certains d’entre eux comme éducateurs, à l’avantage du même charisme dans son mouvement juvénile, rendu déjà gnostique – est de se concevoir comme constitué d’adultes, sans l’amiable nostalgie tellement détestée par père Giussani : conduire tous les hommes à l’Église pétrinienne !
C’est la Vérité, la caractéristique primaire et essentielle du message chrétien dont le christocentrisme est le nœud de la question. Pour cette raison, la très malentendue fidélité au Pape actuel est conçue, non seulement dans une manière sentimentale et aveuglée, en rapport avec son évidente manque même intentionnel, éclatant et indispensable, de droiture magistérielle dans la Tradition. Et non d’une façon rebelle propre au monde gnostique, aussi continuellement dénoncée dans le résiduel  CL. D’autant plus que la Vérité christocentrique, fréquentée comme inférieur ou indifférente à la politique ecclésiale papale, est encore restée dans la dérive historique immanentiste, relativiste et hérétique. Dans une politique toujours plus active, complètement stérile et infondée. Jusqu’à sa finalité méconnue par la quasi-totalité des fidèles, tragiquement dévastatrice. Par exemple, dans le soi-disant œcuménisme de nos jours très continuellement pratiqués et toujours dans la même substance blasphème ! Christ est déjà mort crucifié mais ressuscité! Avec des contenus égales à ceux de l’Assisi, déjà à peine perçue dans les années septante du siècle dernier. Elle était fonctionnalisée d’une façon inacceptable, surtout pour un mouvement comme CL continuellement rappelé à sa vocation éducative permanente. Et à sa traditionnelle fonction glorieuse e publique. Critique celle-ci exagérée ou trop exagérée ? En réalité, elle est à peine symétrique à l’actuelle superficialité critique à la tradition historique d’intelligence théologique et politique exercée par tout le mouvement, pendant une cinquantaine d’années de grande prestigieuse actualité. Par exemple, les Papes doivent demeurer à Rome presque tout le temps – on le sait – comme naturellement “Vicaires”, en tant qu’éternels aboutissement des pèlerinages de foi rédemptrice pour le monde entier. Et pour tous les membres des fausses religions, en pénitence ou en remerciement de conversion pétrinienne !

La rigoureuse analyse de la structure du pouvoir dans le monde entier de l’archevêque Viganò, apprise par le biais de charges très importantess avant sa conversion au Catholicisme pétrinien.
La doctrine des hiérarchies néo-gnostiques, astucieusement dictatoriale dans le laïcisme irréductible au niveau mondial (et de chaque Pays) du NOM, avait par contre déjà fait magnifiquement son infamant travail destructif, général de totale déchristianisation. Dans la civilisation occidentale et, surtout, dans l’Europe à partir de la dégénérée refondation de Maastricht. Et ceci pendant que tous les catholiques étaient plutôt “concentrés” sur le concept excentrique, toujours par ailleurs valide, de la nouvelle. Et authentique religiosité et des crises mondiales spontanément auto-confessées par le communisme lui-même. Œuvre sordide et falsifiant de sécularisation effective, de la part des souteneurs de l’encore plutôt méconnu Nouvel Ordre Mondial, ignoré par tous les très naïfs mouvements catholiques officiels. Avec à la tête le sacré clergé toujours plus perfide et immanentiste, au-delà des apparences…  Justement, au fur et à mesure, expressément nommés aux postes clés, avec des intentions substitutives pour déjà assurer les responsabilités plus au moins subordonnées, maintenant au modernisme politique. Via l’étatisme galopant de la soi-disant modernité surtout  bergoglienne… En surplus, même assez  caché et surtout toujours en modalité assez mystifiée… bien financière. Actuellement l’archevêque Viganò a eu ainsi le grand “démérite”, selon ses adversaires d’avoir analysé tout ce qui, soudainement, en face du monde entier et de manière rigoureusement avec la grande et réaliste compétence historique, s’accompagnant avec sa précision méticuleuse. Etant donné, surtout, le degré d’ignorance irréligieuse et idéologique au sommet des presbytériens, la plupart en silence plutôt cachée, depuis de décennie.  À ce réalisme implacable ont servi les anciennes expériences de repentance politico-religieuses de cet immense archevêque inattendu, à ses hauts charges ecclésiastiques mondiales. Dans lesquelles  il avait cumulé personnellement rares connaissances précieuses. Celles-ci ont aussi permis au grand prélat l’enchantant miracle de sa profonde conversion. Elle lui a permis ainsi un niveau di documentation dans sa nouvelle et désenchantée vision du monde et de l’Église catholique, même dans son propre annonce. Qui est devenu, en décrivant tous les passages et les articulations des dévastations réelles déjà accomplies, à partir desquelles les malheurs existentiels et politiques actuels, sont comme sources certaines. Le véritable pouvoir mondialiste trans-humain, généré ainsi depuis un demi-siècle, sans compter les précédents préparatoires séculaires de la franc-maçonnerie internationale pour  la plus grande Apostasie de l’histoire. Laquelle a déjà provoqué, quasi imperturbablement, la dérive gnostique de la sécularisation de la pensée unique, surtout avec l’infiltration moderniste dans la “déép” Église catholique. Bien connue, à nos jours, comme faussement profonde.

Monseigneur  Giussani : quatre Papes, parmi ses admirateurs comme un de leurs grands Maîtres religieux et amis, même personnels des premiers trois, dans la grave crise de l’Église catholique !
Tous ont ainsi été convaincus progressivement que même la religiosité presque naturelle, comme talent transcendant et studieux de père Giussani, puisse toujours suffire à traduire, en mission divine, toute sa sapience humaine et théocentrique.  Que l’on se rappelle de ses applications de chercheur chevronné, spécialement dans sa jeunesse, pour le Protestantisme mondial. Même sur le plan opérationnel… Non par hasard il constitue un cas unique dans l’histoire pour être devenu le plus estimé catholique vivant par trois grandissimes Papes pourtant marginalement fautifs non intentionnellement : saint Paul VI, aussi comme archevêque de Milan, métropole et diocèse du stupéfiant notre prêtre lombard ; saint Jean-Paul II, déjà à partir de l’époque où était évêque de Cracovie, lorsque ce grandissime mouvement de CL cherchait des expériences religieuses comparables à la leur… ; et Benoît XVI, depuis qu’il était cardinal dans son ultime témoignage publique, pour lequelil avait choisi de se consacrer à la  commémoration aux grandissimes funérailles historiques du fondateur providentiel du grand Mouvement devebu mondial, à la vigile de son Pontificat très contrasté. En surplus, que l’on ajoute que le cardinal Bergoglio, l’avait ambigument adoré, lorsqu’il était encore lointain de devenir le future Pape François, encore établi en Argentine: à l’occasion de sa préface à un de ses livres fondamentaux traduits en espagnol… L’on ne doit pas oublier que si on parle de monseigneur Giussani l’on décrit peut-être le plus grand christocentrique au monde dans le vingtième siècle et en voie de canonisation! Naturellement je ne parle pas ici de la grandeur extrême de monseigneur Lefebvre. Maintenant beaucoup de catholiques de l’aire de CL, osent même attaquer risiblement la différente grandeur et la profondeur analytique bien comparable à celle de CL dans toute son époque suprême . Outre que sur le plan publique, même  également prophétique du grand ambroisien Viganò, comme saint Ambroise et saint Charles Borromée . Dimension aussi au-dessus à celle déjà giussanienne, celle-ci bien suprême pour son  époque précédente.

L’exemple très proche à la situation actuelle du Catholicisme de l’évêque Athanase d’Alexandrie envoyé en exile par la quasi-totalité du clergé, par hérésie. Mais nommé après sa  mort, saint et même Docteur de l’Église par les véritables hérétiques internes à l’Église tout de même battus!

Mais actuellement, la différence tragique est constituée par le fait que le privilège d’appartenir à l’Église en rite ambroisie n’est pas supportée par la Grâce de disposer d’un Pape orthodoxe, main bien hérétique déjà proclamé amplement par une très grande partie de catholiques depuis presque dix ans de scadales, comme François! L’éternel Péché originel n’est, au bas mot, indemne de l’alacrité diabolique et incessante du principe des démons: ceux-ci savent bien comme tenir lointaine de la vrai Église pétrinienne la religiosité chrétienne dans son splendeur du Vrai. Ayant déjà subi l’enseignement testimonial, par exemple, de leur prévisible défaite tout de même posthume, d’un immense évêque, Athanase d’Alexandrie. Exilé cinq fois, quasi à l’unanimité par son clergé, dans le quatrième siècle (à peine avant la venue de saint Ambroise et de saint Augustin à Milan). Plus proche de nos jours surprenants, monseigneur Lefebvre, a réalisé une analogue parabole divine pour sa Fraternité Pie X : “recueillie en grâce” ecclésiale, seulement par Pape Benoît XVI, à l’intérieur de la communion du catholicisme ! Au point qu’elle a pu arriver à être dernièrement constatée même inattaquable, de la part de la furie destructrice du même Pape François. Maintenant défini “soi-disant réformateur o exterminateur final ” du Catholicisme en constante tendance gnostique en vue de la fondation d’une nouvelle religion unique e mondiale (non encore confessée)… Certes, il avait été préfiguré Pontife, depuis le début du troisième millénaire, par le forces hérétiques modernistes internes à l’Église catholique elle-même. Ainsi, il ne serait pas invraisemblable actuellement imaginer père Giussani en voie de célébrer, avec sa CL, la Sainte Messe comme toujours avant Pape Montini, dans l’universel et sacré rite latin tridentin, relancé historiquement par Lefebvre. Et ceci, dans la conscience de la probable Apostasie complète de l’actuelle ère anti-chrétienne : déjà désormais explicitement commencée. On se demande quoi encore devrait-il manquer pour qu’elle soit accomplie !

L’immanquable et fatale dérive “hérétique”, interne actuellement à CL dans la fausse surévaluation anachroniste du charisme giussanien, lequel était toujours en lutte avec le “Péché originel “. Lutte qui n’a pas réussi à dévier, évidemment, l’hétérodoxie moderniste et papiste actuelle mécréante.
Une foi sans pensée – disait saint Augustin – n’en est pas une” : c’est le niveau de miraculeuse sapience humaine et divine, dans une synthèse quasi inimaginable pour l’Église giussanienne connue dans le vingtième siècle par rapport à celle du troisième millénaire. Laquelle actuellement apparait pour le monde entier dans la religiosité, déjà connue de l’archevêque Viganò, à partir de sa fondamentale présence dans les USA et en Italie. La simplicité de la foi peut avoir de la splendeur aujourd’hui seulement dans la Vérité dénuée d’une profonde et articulée culture de la réalité. À la condition qu’elle soit conjuguée constamment à la conscience du tragique caché du modernisme, tant religieux que politique. Mais elle fait aussi identifier sa polarité avec le mondain politicien aveuglé, de lequel toute la soi-disant intellectualité contemporaine est hypnotisée : Freud est le tragique relatif vainqueur tout bien intégré parmi toutes les idéologies plus ou moins progressivement tordues du dernier demi millénaire ! Les méandres des mystères, faussement dévoilés et nullifiées par la culture psycho-sociologiste (post-communiste) à la mode, peuvent faire tomber dans le piège tous les abrutis avec le gnosticisme apparemment irréversible de notre époque. Surtout si soumis à la synthèse entre les deux classiques savoirs en grande inégalité, consacrés par la parfaite conjugalité. Mais déniée par tous les souteneurs sécularisés de l’impossibilité de l’unité entre foi e raison. Elle rend quasi impossible et absolument non croyable, par les idéologisés radicaux comme l’actuel Pape, la fusion anti-étatiste des deux entités simplement viganiennes : “Christ Roi de l’Univers et idéologie tyrannique NOM”. Raison pour laquelle les abrutis d’occasion se manifestent, peut-être lentement et  d’une manière intermittente, dans toute leur impudente nullité et stupidité offensive : contre l’intelligence humaine et éternellement antitotalitaire. Il y a un secret, un soi-disant secret, dans cette dérivée de procédure avancée dans le processus anti-christique ou stratégiquement anthropocentrique.

L’indispensable Doctrine Sociale de l’Église pour conduire assurément dans l’orthodoxie l’action des catholiques qui devaient devenir subordonnés et inefficaces. À cause de l’utilisation de philosophies incrédules et gnostiques, dans la fascinante tendance erronée autonomiste du rationalisme ! Comme le rappelle souvent le plus grand théologien-philosophe contemporain, Stefano Fontana, directeur du Dicastère de la Doctrine Sociale de l’Église, Observatoire Van Thuân de Trieste, avec son ex-président, le gigantesque archevêque Crepaldi, en philosophie, la véritable solution d’un “couple dit dialectique” est toujours seulement en possible solution quand on privilégie, même dans la praxis, un terme par rapport à l’autre. Et non lorsque on les tient sur le même plan dans des cages fermées, comme dans la dialectique hégélienne (qui en parle même dans une sorte d’automatisme résolutif…). Et tandis que la philosophie certaine et indispensable reste toujours l‘”ancilla theologiae”, et non vice versa, comme ils affirment avec arrogance et sans cohérence, les philosophes modernistes et ceux étatistes (lorsqu’ils ne l’excluent carrément pas en tant que même dualisme opposé). La foi doit être donc ontologiquement privilégié dans le rapport rationnl avec la raison, comme répétée par le tout de même grand parmi le plus grands, le démissionnaire Pape Benoît XVI. L’idéalisme hégélien entre ainsi en opposition, en prétendant de compter toujours sur la procédure tragiquement en sens divers et en mettant tout dans la même soupe, en aplatissement immanentiste de toute la réalité. Par conséquent, le  discours évangélique et salvifique de l’archevêque Viganò ne vient désormais réellement même pas compris, aussi non intercepté par la majorité des soi-disant abrutis des catholiques et de CL actuelle (souvent malgré eux) – aussi quand ils pourraient le connaître vraiment – dans le chambardement de la complète apostasie. Je répète comme très habituellement : l’adjectif substantivé “abruti” ne peut pas “être” offensif (au contraire !), dans le sens du signifiant de la conséquence finale de dégradation anti-aristocratique de l’homme !
En vrais abrutis, donc encore plus dans le cas spécifique examiné, certaines catholiques se déchaînent eux aussi  – même contre les dits no-wax – avec des tristes et absurdes philippiques pseudo moralistes, qui n’ont jamais eu rien à voir avec l’éternel Christianisme, notamment aussi très religieux giussanien !

Sous peine de l’acéphalie démente, rendue majoritaire avec le chantage infâme du thérapeutisme Covid dans l’interdiction même du travail : cynique et malthusien irrationnel au mieux, comme totalement rationaliste, la société dite moderne du NOM assume les formes les plus totalitaires par rapport à la tant clamée “démocratie sacrée” : devenue obscurantiste et manipulatrice.
Tous les catholiques qui ont tendance à argumenter avec des discours rationalistes et immanentistes, c’est-à-dire en séparant la dimension rationnelle de celle transcendante et de foi, deviennent toujours plus inévitablement des abrutis ou, tout de même, ne font même pas autre chose que produire des discours d’abrutis. D’irrationnels ou dans l’irrationalisme politicien acéphale propre de tous les partis politiques. Vraiment tous en mesures diverses : dans l’impossibilité structurelle non seulement d’être vraiment catholiques, même dans la fugue aux contradictions très humaines. Et simplement  impossibles sur le plan philosophique, diraient les préchrétiens, Platon et Aristote, tant aimés par le maxime théologien catholique de l’histoire, Thomas d’Aquin. Dans d’autres termes, il écrirait dans ses livres et articles, par exemple, le directeur de la DSÉ Stefano Fontana, que ces pauvres écervelés contemporains se comportent comme ceux qui tentent de produire une pensée catholique en utilisant une toujours indispensable philosophie, mais exclusivement sécularisée et athéiste.  À preuve supplémentaire, donc, de la Vérité catholique, selon laquelle le Christianisme n’est pas, si on ose dire, seulement éternellement salvifique dans l’unique typicité de Sa Vérité transcendent. Mais on rend aussi humainement impossible la conception uniquement logico-immanente, fatalement même subjectiviste ! Ce n’est pas par hasard, si on assiste toujours plus à la dénégation de l’existence ou à l’oubli de refoulement du Péché originel…

Le féroce “Great Reset” politique mondialiste du NOM, hostile aux hommes qui devraient être non seulement dépossédés de leurs biens mais surtout réduits malthusiennement de quelques milliards! Le modernisme, qui comprend  aussi le panthéisme (en étant une partie de la synthèse des philosophies et soi-disant théologies – comme disait saint Pie X dans son encyclique Pascendi du 1907 – est la fausse pensée structurelle du falsifié NOM, maintenant toujours plus évidente. Avec laquelle les rares aristocraties totalitaires sont en train, en mode aussi vainqueur, de remettre à zéro, en produisant le fameux “Great Reset” de toute la civilisation nord-occidentale, y compris celle catholique. Et de la remplacer avec une tyrannie qui n’a même pas peur  de son affirmation inconcevable, pour laquelle on devrait “réduire  de plusieurs milliards le nombre d’humains dans les populations mondiales” !  Ainsi écrivent-ils depuis des siècles, avec l’impudence néo-malthusienne de  beaucoup de masses malignes et désormais lobotomisées dans l’âme, qui défendent l’assassinat dans l’avortement et dans l’euthanasie. Le tout dilué dans les œuvres de culture et en philosophie projectuelle dite créative. Y compris les francs-maçons et les actuelles aristocraties NOM, mais aussi les inconscientes populations massifiées en déperdition. Avec en tête même plusieurs prélats du clergé modernistes à “succès”, expressément nommés impardonnablement aux postes de responsabilité à Rome par ce Pape… Tout ceci pour “rendre toute l’humanité restée possible dans son existence – comme ils répètent toujours – avec la seule félicité praticable pour les populations par eux justifiées et rendues en esclavagisme” ! La méthode opérationnelle est déjà sous tous nos yeux des citoyens et, surtout, des catholiques : avec la soi-disant “démocratie dictatoriale dénommée thérapeutique”, magistralement décrite par l’archevêque Viganò. Celle sans Dieu, définie – il va de soi – celui donc Trinitaire mort sur la Croix et Ressuscité, comme aussi proclamé par notre serviteur et archevêque Viganò : pour la Liberté des hommes et pour le Salut du Ciel ! Prions fièrement.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                

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