2019 mai 5

In estrema sintesi, si può dire che le popolazioni sono in lotta, ai nostri giorni, con due partiti fondamentali : i « mondialisti » (ideologici e totalitari, dunque gnostici), contro i “populisti” (piuttosto religiosi detti sovranisti). Perché la verità pertinente definita dalla parola “glocalismo”, creata dai californiani all’inizio degli anni ’90, non ha avuto il successo sperato nella cultura spirituale e nella politica operativa?

Il termine “glocalismo” è formato dalla fusione di due parole in lotta implicita e feroce, in ogni caso infondata: globalismo e localismo, tanto intrinsecamente inseparabili che complementari Non si può essere mondialisti se non si è localisti, naturalmente sovranisti laddove ci si è involontariamente trovati. Già il latino Seneca l’affermava: “Chi è dappertutto non è […]

En extrême synthèse, on peut dire que les populations sont en lutte, de nos jours, avec deux partis fondamentaux : les « mondialistes » (idéologiques et totalitaires, donc gnostiques), contre les « populistes » (plutôt religieux dits souverainistes). Pourquoi la vérité définie par le mot « glocalisme », créé par les Californiens au début des années 90, n’a pas eu le succès espéré dans la culture spirituelle et dans la politique opérationnelle ?

Le mot « glocalisme » est formé de la fusion de deux termes en lutte implicite et féroce, mais tout de même infondée : globalisme et localisme, autant inséparables que complémentaires On ne peut être mondialiste qu’en étant localiste, naturellement souverainiste là où on s’est touvé involontairement. Déjà le Latin Sénèque l’affirmait : « Celui qui est partout n’est nulle […]